De Johann Le Guillerm, au Castrum.
Performance de plusieurs heures, durant laquelle une structure en bois se déplace en ville. Ce serpent qui évolue, se gonfle, pour finir par s'endormir dans les douves du château possède un fort potentiel poétique.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De Johann Le Guillerm, au Castrum.
Performance de plusieurs heures, durant laquelle une structure en bois se déplace en ville. Ce serpent qui évolue, se gonfle, pour finir par s'endormir dans les douves du château possède un fort potentiel poétique.
De Johann Le Guillerm, à Vidy. Une troisième vision, à chaque fois différente, car l'angle de vue et les imperfections ne sont jamais les mêmes. Mais je ne cesse de m'émerveiller devant ces si belles machines et constructions aux équilibres tellement instables.
De Johann Le Guillerm, à Vidy. Une deuxième vision bien agréable, permettant de s'attarder sur des détails passés plus ou moins inaperçus la première fois. Toujours autant poétique, toujours aussi beau, et qui continue à prendre son temps.
De Johann Le Guillerm, à Vidy. Poésie mécanique, poésie géométrique, poésie origami, poésie autonome, poésie du mouvement, mais poésie toujours et encore. Le secret ne sera par contre pas révélé !