De la Cie Sumo, au Castrum.
Version courte et en plein air de ce duo danse et batterie. Une énergie toujours incroyable de la part de Mélissa Guex, encore une fois une véritable réussite.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la Cie Sumo, au Castrum.
Version courte et en plein air de ce duo danse et batterie. Une énergie toujours incroyable de la part de Mélissa Guex, encore une fois une véritable réussite.
De Tsubasa Watanabe, à la Plage des 6 Pompes.
Entre danse et jonglage, ce numéro solo de diabolo est un magnifique moment de poésie d'un être perdu entre deux mondes et cherchant la beauté.
De la Cie Resident Island Dance Theater, à la Condition des Soies.
Pièce sur l'aliénation due au travail à la chaîne ; les sols mouvants rajoutent de la tension. Très beau et très fort !
De la Cie CludaCo, à la Dampfzentrale.
Une sortie de résidence, présentant le travail effectué sur un spectacle cherchant à s'inspirer de la culture club actuelle. Un travail plein de belle énergie et de promesses qui se réaliseront pour la première en septembre.
Soirée Humus & Wine, à la Chapelle de La Maladière.
Habitués aux concerts en salon, les voici dans une minuscule chapelle. Un concert de folk qui fait du bien, malgré que la plupart des chansons soient tristes, dans une ambiance très intime.
De la Cie Marchepied, à la Dérivée.
Quatre danseur·euses dans une pièce courte évoquant les flots de la rivière juste derrière elleux. Une belle performance très agréable.
Du Tanztheater Wuppertal Pina Bausch, à la Filature, Mulhouse.
Des soli ou des scènes de groupe, sous la présence quasi oppressante d'un gigantesque rocher, avec une rivière et de la pluie sur scène. Les danseur·euse·s jouent ou luttent avec ces éléments. De l'humour, de la douceur, de la séduction, ... un cocktail très varié, pour un résultat absolument époustouflant et magnifique ! 🤩😍
Au SAS, Delémont.
Huit musicienne·x·s romande·x·s nous chantent leurs berceuses, chacune avec sa personnalité et énergie propre, et sublimée par le groupe. Un magnifique moment.
CH-Block Fest 40 ans, au Fri-Son.
Le duo d'Emilie, augmenté ce soir par le violoncelle de Sara. Une très belle complicité entre ces trois belles personnes, pour des morceaux sublimés. Un concert vraiment exceptionnel, avec une mention particulière pour leur interprétation de Autrans (un solo de Sara à la base) !
CH-Block Fest 40 ans, au Fri-Son.
Des chansons aux sonorités assez pop, mais avec des textes bien plus sombres. Mais une belle énergie se dégage de cette chanteuse.
De Lorena Stadelmann, au Théâtre Sévelin 36.
Une forme très courte durant laquelle la talentueuse artiste, vêtue de rouge, incarne des êtres étranges semblant sortir de cauchemars. Magnifique
De la Cie La Salamandre, à l'Échandole.
Un atelier d'usine où deux artisans s'échappent pour raconter l'histoire d'une bigouden partant à la recherche de son mari pêcheur. Du théâtre d'objet tout doux pour une histoire pleine de tendresse et d'aventures ! Un super moment !
De la Cie Calmez-vous !, à l'Échandole.
Un groupe de visiteurs de 2254 débarque en 2023 pour découvrir cette époque méconnue. Une visite guidée qui interroge avec humour pourquoi personne ne fait rien alors qu'on fonce fibre dans le mur.
De Johann Le Guillerm, au Castrum.
Performance de plusieurs heures, durant laquelle une structure en bois se déplace en ville. Ce serpent qui évolue, se gonfle, pour finir par s'endormir dans les douves du château possède un fort potentiel poétique.
À l'Échandole.
Un très beau concert de douceur, de bienveillance, malgré des textes plutôt sombres. Belle connivence entre ces six femmes, pour cette première fois avec cette formation. De quoi se dire que le monde n'est peut-être pas si mauvais...
Du Collectif Detouteur, à la Fête de la danse, Yverdon.
Trois personnages veulent rentrer à la maison, et nous entraînent avec elles sur leur chemin. Beaucoup d'humour, des situations absurdes, une belle réussite.
De la 2b company, à l'Échandole.
Deux haut-parleurs nous parlent d'une pièce avec acteurs qui raconte cette pièce-ci qui est sans acteurs. Une nouvelle pièce méta sur la création. Quelques belles trouvailles visuelles.
De Maison Ravage, à Vidy.
Longue réflexion et déconstruction des luttes révolutionnaires au travers de quelques exemples : Algérie, Guinée-Bissau, ...
De belles trouvailles de jeu, et quelques parallèles avec la lutte contre le patriarcat.
À Fri-Son.
Oy continue à évoluer dans son univers et son charisme fonctionne.
Dès les premières paroles d'Emilíana, la chair de poule. A-t-elle amené de l'air d'Islande ? Magnifiques musiciens, sublime concert.
Du Turak Théâtre, au TKM.
Théâtre d'objets absurdo-poétique qui nous présente quelques cartes postales vivantes de la Turakie. Ce pays imaginaire nous enchante avec ses jeux de mots et ses tronches impayables. Ça donne envie d'aller le visiter.