De la 2b Company, à Nebia.
Fasciné dans son enfance par le film Zardoz et sa musique de Beethoven, François Gremaud nous raconte le film dans ses moindres détails en le recontextualisant parfois. Une performance de précision et assez drôle.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la 2b Company, à Nebia.
Fasciné dans son enfance par le film Zardoz et sa musique de Beethoven, François Gremaud nous raconte le film dans ses moindres détails en le recontextualisant parfois. Une performance de précision et assez drôle.
De My Name is Fuzzy, au TBB. À l'aide d'une IA, il compose les diapositives (textes et images) d'une conférence. Puis deux improvisateur·ice découvrent cette présentation en direct et l'interprètent. Aujourd'hui, le dilemme du rangement des cuillères dans une bibliothèque. Publication originale.
De la Cie du Gaz, au Passage. Deux sur scène, une autre en vidéo, iels partent en excursion le long du Doubs à la recherche d'un sens. Un peu sans queue ni tête. Publication originale.
De la Cie Rahu LaMo, à Vidy. Au plus près du public (même en plein milieu), les danseur·euses se passent l'énergie, s'observent avec bienveillance, dansent (surtout). Un moment touchant et qui fait du bien. Publication originale.
De Rasmus Myrup, au CACY. Des accessoires de mode remis en scène et un peu anthropomorphisés. Une exposition joueuse et bon enfant qui nous laisse avec le sourire. Publication originale.
De la Cie Sandra Gaudin, à l'Octogone. L'un, la star internationale, cherche le calme ; l'autre, l'hurluberlu montagnard, veut le rencontrer et obtenir quelque chose. Ils se retrouvent coincés dans une télécabine et forcés à interagir. Deux bons comédiens pour porter ce texte sur la renommée et la reconnaissance. Publication originale.
De la Cie Alorizon, au centre de culture ABC. Une vieille dame, marionnette portée, réécoute des enregistrements de ses souvenirs. Un moment très beau et touchant sur l'âge et ses lenteurs imposées. Publication originale.
Par la Comédie Française, à Équilibre. La pièce de Racine, dans une mise en scène respectueuse. Les malheurs d'une reine, aimant et étant aimée par le nouveau dirigeant de Rome, mais écartée car étrangère. Belle interprétation, mais décidément les vers en alexandrin ne me conviennent pas. Publication originale.
De A7LA5, à Vidy. Un temps qui se dilate, au rythme d'une journée dans le désert. Des esprits jouent, dansent. Un début lent, qui s'accélère et amène de belles images. Publication originale.
Du Théâtre du corps Pietragalla-Derouault, au Théâtre de la Villette. Un dealer et son client se croisent dans la rue, se jugent, s'affrontent... Sur un texte très dense de Koltès, les deux danseurs évoquent les pensées et intentions des personnages. Publication originale.
À l'Institut du Monde Arabe. À travers plusieurs pièces déposées à Genève depuis des années, découverte de l'histoire et des sites archéologiques de Gaza, en grand danger actuellement. Publication originale.
À l'Institut du Monde Arabe. Étude sur le mythe de Cléopâtre : des références historiques, à sa présence dans l'art classique, et son ascension au rang de mythe par le cinéma et la pop culture, et même sa reconquête dans les luttes féministes et anti raciste. Publication originale.
Au Grand Palais. Surabondance est le mot clé : de monde, de propositions, de styles, d'étalage de richesses, ... Écoeurant à force. Publication originale.
De Fabian Tharin, à l'Échandole. Principalement des chansons de Streaker, réorchestrées en solo, avec en trame l'histoire de Rose, grand-mère trop cadrée par le patriarcat. Émouvant et nostalgique. Publication originale.
De la Cie de l'allumette, au Passage. La première de la première pièce de la compagnie. Deux chercheur·euse observent des hamsters, avec une routine quotidienne extrême... Jusqu'à ce que l'une ne supporte plus et tente d'obtenir une réaction de l'autre. Publication originale.
Du CCN Ballet de l'Opéra national du Rhin, au Théâtre du Jura. Très pièces de Forsythe, des années 80 à 90, reprises par ce corps de ballet. Une première évolution depuis la danse classique, une autre plus expérimentale, et enfin une moderne et pleine d'énergie. Très beaux jeux de lumières et de costumes noir et blanc. Publication originale.
De Felipe Romero Beltrán, à la Maison Européenne de la Photographie. Le photographe a passé du temps dans un centre de migrants, se faisant accepter par les résidents avant de faire des photos touchantes de simplicité de cette réalité. Publication originale.
D'Edward Weston, à la Maison Européenne de la Photographie. Portraitiste du début XXe, qui évolue au fil des années vers des photos plus modernes et s'intéressent à d'autres sujets. Très intéressant de voir cette évolution et retrouver certaines photos iconiques. Publication originale.
De Tyler Mitchell, à la Maison Européenne de la Photographie. La même exposition qu'à Lausanne, mais présentée de manière fort différente. Intéressant de voir comment l'espace d'une forme au contenu. Les photos sont toujours belles et touchantes. Publication originale.
De la Cie DCA, au Théâtre de la Villette. Avant même le lever du rideau, Decouflé, facétieux et pourtant un loup, danse sur du rock. La pièce elle-même porte sur le temps qui passe, qui tourne, qui se répète. Une deuxième partie particulièrement pleine de trouvailles, de rythme, d'humour et de plaisir ! Publication originale.