De la Cie des Autres, au Pommier.
Elles sont sœurs (pour de vrai) et veulent parler de sororité en se projetant dans l'histoire d'un groupe de musique. Une histoire avec plusieurs niveaux, et un jeu très distant.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la Cie des Autres, au Pommier.
Elles sont sœurs (pour de vrai) et veulent parler de sororité en se projetant dans l'histoire d'un groupe de musique. Une histoire avec plusieurs niveaux, et un jeu très distant.
De la Cie Interlope, au Pulloff. Un écrivain en panne retrouve le plaisir d'écrire avec un petit conte subaquatique. Toustes ses proches s'y reconnaissent et le lui reprochent. Une comédie bien menée et jouée. Publication originale.
De la Cie CRAB, à l'Alchimie. Un duo de main à main, au milieu de plein de tapis de mousse qui prennent parfois vie avec humour, pour une métaphore comparant l'urbanisation à une éruption destructrice pour la nature. Publication originale.
À l'Alchimie. Un spectacle d'école, avec tout ce qu'il faut de fraîcheur, de maladresse, et surtout de courage pour se lancer. Un grand bravo à ces jeunes qui essaient en confiance. Publication originale.
De la Cie Rocking Chair Théâtre, à l'Échandole. Deux grands-mères chantent des chansons italiennes ou siciliennes, à leur rythme, avec leurs tensions internes, parfois une tête s'envole (littéralement)... Intéressant de découvrir un concert donné par des marionnettes portées. Publication originale.
De la Cie Moost, au GZ Buchegg. Deux hommes, un terrarium, sans paroles, un lien se crée ou non... Ce que j'aime avec Moost, c'est qu'on peut voir plein de fois le même spectacle, mais il est à toujours un peu diférent : de nouvelles choses arrivent, d'autres disparaissent. Publication originale.
De la Cie champloO, à la Tanzhaus Zürich. Un univers de rêves et de souvenirs d'un vieil homme, plein de belles images conjurées par la danse urbaine, et un plan incliné. Un côté joueur qui nous entraîne avec elle·eux ! Publication originale.
D'Anne Bory, au Musée de l'Absurde. Des peintures très fines, pleines de détails (souvent à observer à la loupe !), inspirées des graines. De belles œuvres dans un tout petit musée. Publication originale.
De Lia Rodrigues, à La Comédie de Genève. Un début très lent et silencieux, avec des êtres masqués et difformes, puis le plastique qui se transforme en mer, et enfin une énergie de fête et d'humour que j'attendais. Encore une fois une approche très originale. Publication originale.
Au festival des arts de rue de Saint-Sulpice. Un brass band à quatre, avec un air d'incompétence sociale, qui reprend des morceaux connus (Backstreet Boys, RATM, House of Pain, ...) Publication originale.
De Kif Kif Cie, au festival des arts de rue de Saint-Sulpice. Deux hommes qui se ressemblent beaucoup viennent de planter, et poussent comme des arbres. Compétition, jonglage, jeux d'enfant, une capsule assez poétique. Publication originale.
De la Cie Cirque au Carré, au festival des arts de rue de Saint-Sulpice. Un petit bateau tout mimi sur l'herbe, un personnage débordant de bonhomie, un numéro de diabolo joliment amené et mené. Un sourire qui dure chez les spectateur·rices. Publication originale.
De Fred et Flo, à la Dérivée. Avec comme point de départ des chansons populaires ou chorales du folklore Fribourgeois, le duo synthé et batterie faire de longues impros entre muzak eu musique électronique. Publication originale.
De la Cie Calmez-vous !, au festival De rire et de rêves... Au XXIIIè siècle, le tourisme est temporel. Un groupe d'antrhopologues vient découvrir l'an 2025, et s'intéresse à comprendre cette époque face aux catastrophes à venir. Une démabulation qui nuos interroge sur notre inaction climatique. Publication originale.
De la Cie Calmez-vous !, au festival De rire et de rêves... Des suggestions tirées d'un chapeau, un pianiste agile de ses dix doigts, et c'est parti pour un concert simple et drôle où tout est improvisé. Publication originale.
De la Cie Tenseï, aux Bains des Pâquis. Chacun·e dans son style, Cédric Gagneur, Marthe Krummenacher, Rafael Smadja, font un solo avant de se retrouver les trois, sur la musique improvisée de Florian Favre. Magnifique moment avec le lever du soleil. Publication originale.
Du CFP Arts CFC danse contemporaine, aux Bains des Pâquis. Onze danseur·euses évoluent en groupes, duos, solos... Plusieurs styles sont présents, mais cela a un côté démonstratif. Publication originale.
De la Cie Synergie, aux Bains des Pâquis. Au lever du jour et au bord de l'eau, le duo de danseurs (accompagné par un guitariste) tourne, s'observe, s'invite. L'intensité de la danse monte en même temps que la lumière du jour. Publication originale.
Aux terrasses du Casino. Une version plus soul des morceaux (une pianiste et des choristes viennent accompagner la magnifique voix de Lyn M) que ce à quoi je m'attendais, mais un bon moment. Publication originale.
Aux terrasses du Casino. Une pop acidulée, avec des textes pleins d'humour et d'auto dérision, une musique et une chanteuse qui font du bien au moral, malgré des thèmes parfois un peu dark. Publication originale.