De la Cie Sept fois la langue, au Castrum.
Un jour, sa sœur a disparu dans l'océan. Il part à sa recherche en parcourant les fonds marins. Une fable rappelant un peu l'histoire d'Orphée pour accepter la disparition de l'autre.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la Cie Sept fois la langue, au Castrum.
Un jour, sa sœur a disparu dans l'océan. Il part à sa recherche en parcourant les fonds marins. Une fable rappelant un peu l'histoire d'Orphée pour accepter la disparition de l'autre.
De la Cie Les Diptik, au Castrum. Garlic et D'angle sont dans l'attente de leur réincarnation. Pour passer le temps, l'une collectionne les désirs impossibles, l'autre écrit un poème, iels philosophent sur leurs vies passées ou à venir. Une pièce bien drôle et avec (aussi) de vraies questions. Publication originale.
De la Cie Pieds Perchés, au Castrum. Deux descentes à la corde lisse sur un bâtiment, variations et essais pour un travail encore en recherche, mais déjà impressionnant. Publication originale.
Du Collectif La Flambée, au Castrum. Dieu est là, il revient pour nous parler de sa création (et de Freddie Mercury !) et pourquoi nous, humains, cherchons tant à la détruire. Beaucoup d'humour et de délire dans cette déambulation. Publication originale.
De la Cie Delá Praká, au Castrum. À partir de fêtes traditionnelles du Brésil, un spectacle mêlant danse, musique, mât chinois et humour. Publication originale.
Du Grand Colossal Théâtre, aux Garden Parties de Lausanne. La vie de Jean-Claude Barbes change brutalement du tout au tout : il perd son travail, son appartement, sa famille, ... La fresque d'une vie pleine de rebondissements par quatre comédien·nes talentueux·euses. Publication originale.
De Underclouds Cie, aux Garden Parties de Lausanne. Une grande sculpture mobile en forme de roue inclinée, deux acrobates danseur·euse, une légèreté agréable. Publication originale.
De la Cie Si le Colibri, au Castrum. Jonglage de chapeaux, univers parallèles, danse, physique quantique... Un mélange tout en douceur et justesse pour évoquer l'absence de l'autre et le deuil. Publication originale.
De Dorian Sari, au CACY. Installations de sculptures et de peintures, faisant référence à un monde qui n'existera pas... Publication originale.
Des Cie Maxtor&Aleko, Pintozor Prod., au Castrum. Une déambulation anonyme et avec casque audio pour nous faire penser aux fantômes et à ce qu'iels représentent pour nous. Publication originale.
Du Collectif Agonie du Palmier, au Castrum. Un rituel pour re-érotiser nos vies. Appel aux déesses du désir et de la luxure, remerciements aux êtres qui nous entourent, effeuillage, consentement, ... Une approche drôlastique proche du clown du sujet. Publication originale.
De Typhus Bronx, au Castrum. Manu (le comédien) et Typhus (le perso) ont décidé de faire un enfant ensemble. Nous avons donc le droit aux délires de Typhus sur la parentalité et ses difficultés. Brillant solo, alternant de multiples personnages, grinçant à souhait... Publication originale.
De la Cie Dyptik, au Castrum. C'est un jour de fête : musique d'inspiration orientale, fleurs, danseur·euses, ... mais derrière la joie et la fête se cachent aussi des parts d'ombre. Une énergie qui déborde pour cette compagnie de danse hip-hop. Publication originale.
Du Cirque Immersif, au Castrum. Un porteur, une acrobate, un mât chinois ambulant. Une petite forme courte revisitant l'acte de porter. Publication originale.
De Jonathan LLense, au MBAL. Un hommage par la photo et des installations aux vingt-huit fontaines de la ville du Locle. Décalé, drôle, absurde à souhait. Publication originale.
Au MBAL. Une présentation d'œuvres piochées dans la collection, présentées sous forme thématique, et avec humour dans les textes et quelques interventions artistiques spécifiques (entre autres de Plonk & Replonk-Bébert). Publication originale.
Au MIH. Depuis sa création par Huygens jusqu'à ses redéfinitions courantes en silicium, l'histoire du cœur de la montre : le spiral. Plein d'objets présentent cette histoire de manière chronologique et documentée. Publication originale.
De Typhus Bronx, à la Plage des 6 Pompes. Ah Typhus et ses névroses, toujours en attente de sa "délibération"... Un solo de clown brillant, passant de la poésie à la noirceur en un clin d'œil, et nous mettant face à nos préjugés sur les troubles psy. Publication originale.
Du Grand Colossal Théâtre, à la Plage des 6 Pompes.
La suite des aventures de Paul et les habitants de sa cité. Cette fois-ci, les tensions avec la cité d'en face augmentent, des jets d'ordures ont lieu, et Paul est toujours empêtré dans ces problèmes... Une énorme palettes de personnages bien posés et décapants.
Du collectif Les Aimants, à la Plage des 6 Pompes. Trio a capella de chansons baroques, mais avec des textes très modernes, le tout entamé depuis une armoire. Une touche de légèreté et d'humour. Publication originale.