Au festival des arts de rue de Saint-Sulpice.
Un brass band à quatre, avec un air d'incompétence sociale, qui reprend des morceaux connus (Backstreet Boys, RATM, House of Pain, ...)
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
Au festival des arts de rue de Saint-Sulpice.
Un brass band à quatre, avec un air d'incompétence sociale, qui reprend des morceaux connus (Backstreet Boys, RATM, House of Pain, ...)
De Kif Kif Cie, au festival des arts de rue de Saint-Sulpice. Deux hommes qui se ressemblent beaucoup viennent de planter, et poussent comme des arbres. Compétition, jonglage, jeux d'enfant, une capsule assez poétique. Publication originale.
De la Cie Cirque au Carré, au festival des arts de rue de Saint-Sulpice. Un petit bateau tout mimi sur l'herbe, un personnage débordant de bonhomie, un numéro de diabolo joliment amené et mené. Un sourire qui dure chez les spectateur·rices. Publication originale.
De Fred et Flo, à la Dérivée. Avec comme point de départ des chansons populaires ou chorales du folklore Fribourgeois, le duo synthé et batterie faire de longues impros entre muzak eu musique électronique. Publication originale.
De la Cie Calmez-vous !, au festival De rire et de rêves... Au XXIIIè siècle, le tourisme est temporel. Un groupe d'antrhopologues vient découvrir l'an 2025, et s'intéresse à comprendre cette époque face aux catastrophes à venir. Une démabulation qui nuos interroge sur notre inaction climatique. Publication originale.
De la Cie Calmez-vous !, au festival De rire et de rêves... Des suggestions tirées d'un chapeau, un pianiste agile de ses dix doigts, et c'est parti pour un concert simple et drôle où tout est improvisé. Publication originale.
De la Cie Tenseï, aux Bains des Pâquis. Chacun·e dans son style, Cédric Gagneur, Marthe Krummenacher, Rafael Smadja, font un solo avant de se retrouver les trois, sur la musique improvisée de Florian Favre. Magnifique moment avec le lever du soleil. Publication originale.
Du CFP Arts CFC danse contemporaine, aux Bains des Pâquis. Onze danseur·euses évoluent en groupes, duos, solos... Plusieurs styles sont présents, mais cela a un côté démonstratif. Publication originale.
De la Cie Synergie, aux Bains des Pâquis. Au lever du jour et au bord de l'eau, le duo de danseurs (accompagné par un guitariste) tourne, s'observe, s'invite. L'intensité de la danse monte en même temps que la lumière du jour. Publication originale.
Aux terrasses du Casino. Une version plus soul des morceaux (une pianiste et des choristes viennent accompagner la magnifique voix de Lyn M) que ce à quoi je m'attendais, mais un bon moment. Publication originale.
Aux terrasses du Casino. Une pop acidulée, avec des textes pleins d'humour et d'auto dérision, une musique et une chanteuse qui font du bien au moral, malgré des thèmes parfois un peu dark. Publication originale.
De La Horde dans les pavés, au far°. Une déambulation joyeuse, pleine de jeux, d'escalades, d'accrochages dans l'espace urbain : sur les toits, en utilisant les cheneaux, ... et cela malgré une météo détestable et fort humide. Publication originale.
De Lili Parson Piguet, au far°. Un solo où elle dévoile un peu son parcours au gré des agrès (roue Cyr, capillotraction, trapèze, ...) Plein de bienveillance et de légèreté, et une performance qui nous subjugue. Publication originale.
De La horde dans les pavés, au far°. Sortie de résidence, essais de plein de pleins de choses dans l'espace urbain, au travers d'une dystopie futuriste où les radios pirates restent les seuls éléments permettant de tisser un lien entre les gens. Prometteur. Publication originale.
De Johanna Heusser, au far°. Jeux de pouvoir, de séduction, de jalousie, au travers de la valse sous toutes ses formes, avec un décalage drôlatique de plus en plus poussé. Publication originale.
Du Collectif Ouinch Ouinch, au Castrum. Pour terminer le festival, un air de fête s'empare de nouveau de la place Pestalozzi avec le retour des Ouinch Ouinch et leur envie communicative de danser. Publication originale.
Du Théâtre de l'Extrême, au Castrum. Une confrontation avec le public, parfois menaçante, souvent drôle, rarement angoissante. Une très belle progression depuis les essais d'il y a un an. Publication originale.
Du Collectif du feu de Dieu, au Castrum. Un clown triste autobiographique, évoquant le fascisme et la résistance en Amérique du Sud. Le spectacle a encore besoin de trouver ses marques. Publication originale.
De la Cie Si le Colibri, au Castrum. Tout en douceur et finesse, l'évocation du proche disparu et qui nous manque. Un mélange de technique (jonglage de chapeaux, danse, membre fantôme, ...) pour que le public l'accompagne sur ce chemin. Publication originale.
Du Collectif Ouinch Ouinch, au Castrum. La joie de danser, exprimée simplement par le mouvement et les vêtements qui virevoltent. Une énergie fraîche et libératrice puisque le public se joint à elles·eux à la fin. Publication originale.