De MyFavouriteGear, aux Quarts d'heure de Sévelin 36.
Des vêtements connectés à une console de son, des chaises de bureau, des êtres masqués ou non, ... Trop obscur pour moi.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De MyFavouriteGear, aux Quarts d'heure de Sévelin 36.
Des vêtements connectés à une console de son, des chaises de bureau, des êtres masqués ou non, ... Trop obscur pour moi.
D'Ambre Aucouturier, aux Quarts d'heure de Sévelin 36. La tête camouflée par une grande étoffe déployée sur le sol, dans un silence absolu, petit à petit le corps bouge, ressemble le tissu, se réconforte... Publication originale.
De Chance Sayela, aux Quarts d'heure de Sévelin 36. Rentrée de journée, épuisement, dépression, sauvée in extremis. Une danse très à l'opposé de ce qu'on attend d'une danseuse de krump. Publication originale.
De la Cie Analog, aux Quarts d'heure de Sévelin 36. Un duo sur la solitude, chacun·e dans son coin, évoluant en parallèle mais avec quand même une potentialité de rencontres. Publication originale.
De Norine Botella, aux Quarts d'heure de Sévelin 36. Avec une voix Off énumérant des pensées parasites et d'auto dénigrement, elle danse et montre à tous·tes qu'elle vaut mieux que ces pensées. Publication originale.
De Kalil Bat, aux Quarts d'heure de Sévelin 36. Il évolue torse nu et tatoué, énumère des pays et pourcentages, ... Publication originale.
Au festival Tournez la Meule. Cinq voix féminines qui s'allient, accompagnées souvent au piano, parfois au ukulélé ou xylophone, avec un répertoire principalement de medleys inspirés et entraînants. Publication originale.
Au festival Tournez la Meule. En concert dans un magasin de vélo, j'ai du plaisir à retrouver les balades folk tristes de ce quatuor avec les voix des deux frères Wicky qui s'harmonisent à merveille. Publication originale.
À l'Échandole. Un vernissage de disque qui n'en est pas vraiment un, mais quand même la découverte des nouvelles compositions du pianiste. Traversée de divers univers et humeurs. Publication originale.
À l'Échandole. Guitariste solo dans la pénombre, de longs morceaux planants et assez minimalistes qui nous emmènent en voyage. Publication originale.
Des Cie Linga & Keda, au TBB. Comme des algues dans le flux d'une rivière, les danseur·euses se laissent porter par le courant de la musique. Après un début un peu lent à mon goût, de belles images se forment peu à peu. Publication originale.
De la Cie Frenhofer, au Pommier. Deux comédiens, l'un au faite de sa gloire, l'autre peinant à démarrer sa nouvelle création, se retrouvent. L'un a toujours une domination sur l'autre et l'harcèle, parfois les rôles s'inversent... Publication originale.
De la Cie Eastman, au Grand Théâtre de Genève. Un Boléro envoûtant, avec un miroir en fond de scène qui subjugue, et des danseurs squelettes incarnant la mélodie. Subjugant. Dans un décor grandiose, le Bal Impérial nous emmène valser à travers les époques, les guerres, les séductions. Publication originale.
De la Cie Pan, au Théâtricul. Jean-François prend des cours de danse. Un jour, un ses anciens camarades d'école vient dans le même cours. Par esprit de revanche, J-F s'inscrira à la même compétition que l'autre. Un monologue interne touchant et bien joué sur les rancœurs qui peuvent nous habiter de longues années. Publication originale.
De la Cie des Mutants, à l'Échandole. Par un soir d'orage, il et elle se rappellent leur grand-mère, enterrée lors d'un gros orage. Cette grand-mère un peu sauvage, solitaire, mais aimante à sa manière. Un beau spectacle de marionnette en bois trouvé. Publication originale.
De Baro d'Evel, à Am Stram Gram. Dans une administration qui prend l'eau, deux personnes sont à la recherche de leur animal intérieur. Une absurdité douce et tendre, pleine de beauté et de souplesse circassienne. Publication originale.
De Mazelfreten, à l'Octogone. Des lumières tamisées, de petits groupes, des rythmes down tempo, et une excellence chorégraphique. De beaux moments, mais l'énergie de Rave lucid me manque. Publication originale.
De La FUR compagnie, à l'Arsenic. La grande Jacquelin Maillan se sent en fin de carrière, et décide de mettre fin à ses jours en présence de deux ami·e. Soudain, Bernard Marie Koltès débarque avec une pièce écrite spécialement pour elle ! Plein d'a priori font que je ne devais pas aimer ce boulevard moderne, mais j'ai beaucoup ri face à cette absurdité et à l'excellent jeu de Rébecca Balestra. Publication originale.
De Tiago Rodrigues, à Vidy. Elle, sur Mars, discute avec son père sur Terre. Petit à petit, elle perd ses souvenirs. Une pièce très forte et émouvante sur l'oubli, l'espoir, la parentalité... Publication originale.
De la Cie Unlisted., à Vidy. Poursuivi tout du long par une grosse sphère en mouvement, il fait du vélo inversé, fait tourner des assiettes sur des tiges, ... Chaos et destruction surviennent pour le plus grand plaisir de tous·tes. Publication originale.