De la Cie du Cachot, festival Shiiink.
Une dizaine de micro-scènes dans l'espace public, et qui se répètent en boucle : demande en mariage, ballon trop gonflé, rencontre ratée, ... Une absurdité temporelle qui interpelle les passants.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la Cie du Cachot, festival Shiiink.
Une dizaine de micro-scènes dans l'espace public, et qui se répètent en boucle : demande en mariage, ballon trop gonflé, rencontre ratée, ... Une absurdité temporelle qui interpelle les passants.
Junge Bühne Bern, festival Discover. 8 compagnies, 8 pièces courtes, de 1 à 16 danseur·euses, mais un style en commun : le waacking. Une positivité et une énergie qui font du bien à voir. Particulièrement apprécié les pièces de Sophie-J, Cie ChamploO, et Waacking Switzerland. Publication originale.
De la Cie du Cachot, à l'Échandole, festival Shiiink. Henri Dès en invité star. Des improvisations découlent de ses réponses aux questions : entre rencontre improbable au Canada, pitch de chanson à écrire, non-engagement politique, ... Une face imaginaire et drôlastique de ce personnage. Publication originale.
De Forma, au Passage. Entre tour de chant et stand-up, elle nous parle de sa vie et des choix qui l'ont amenée de son envie d'être une star de la chanson à sa carrière plutôt d'humoriste. Et un final où elle se montre touchante. Publication originale.
De Christoph Marthaler, à Vidy. Un sommet au sommet, six personnages qui ne parlent pas la même langue et ne se comprennent pas vraiment. Pas mal de chansons et de musique, un sommet d'absurdités qui a su me captiver. Publication originale.
De En compagnie d'eux, à l'Échandole. Un grand nombre d'objets hétéroclites sur scène, véritable capharnaüm débordant, que trois explorateur·rices découvrent petit à petit. Les objets sont utilisés pour plein de leurs aspects, sauf leur fonction première, et servent à construire des installations foutraques. Une ode à l'inventivité du jeu. Publication originale.
De la Cie Woman's move, Fête de la Danse, Yverdon. Une séquence chorégraphique répétée, sous les contraintes d'un directeur de casting tyrannique. Version normale, puis "stop and go", puis avec des répétitions, puis ... Une grosse dose de rire devant l'absurdité de ces demandes et leur exécution. Publication originale.
De Tamara Mancini, Fête de la Danse, Yverdon. Une deuxième vision, cette fois-ci dans un théâtre avec des lumières travaillées. La pièce prend un côté plus intime, qui sied à merveille à ce propos d'amour et de douceur. Publication originale.
De la Cie Vigousse, au Théâtre du Concert.
La version complète d'une pièce déjà vue à l'automne. Trois danseur·euses se lâchent et font surgir plusieurs pans de leur personnalité. Un côté très loufoque et absurde.
De Tamara Mancini, Fête de la Danse, Bienne. Seul en scène mélangeant plusieurs styles (waacking, claquettes, pantomime, ...) basé sur le morceau d'Edith Piaf. Une pièce pleine de douceurs et d'amour. Publication originale.
De la Cie Zaidi, Fête de la Danse, Neuchâtel. L'énergie brute du krump me fascine. Cette pièce utilise ce style pour parler de ce qui nous rendu unique ou différent. Aussi bien des difficultés que cela représente, que des bonheurs. Publication originale.
Du Bis.Collectif, Fête de la Danse, Lausanne. Cinq femmes dans la cinquantaine qui font hommage aux concours de gym artistique de leur enfance. Une performance touchante et pleine de second degré. Publication originale.
De OTHERS & Compagnie, Fête de la Danse, Bienne. Une interprétation par la danse plutôt littérale des mots d'un rappeur parlant des personnes mal ajustées dans la société. Une performance dansée de qualité, qui mériterait un peu plus de variété musicale. Publication originale.
De la Cie AMA, au Théâtre du Concert. Après le monde du fast-food, la chorégraphe s'intéresse au monde virtuel des dances TikTok. Trois danseuses interprétent ces danses virales. Frais et hypnotisant. Publication originale.
De Jade Albasini & Mélanie Gobet, au Théâtre du Concert. Deux femmes assises sur un canapé gonflable rient, rient jusqu'à l'épuisement, avant de prendre le contrôle de l'espace. Expression par le corps de la prise de pouvoir et de parole de ces femmes qu'on jugeait autrefois hystérique. Ca fait du bien. Publication originale.
De la Cie Art&Motion, au Théâtre du Concert. Un extrait d'un spectacle plus long à venir. A rencontre B, dans un espace E, face à un public P, ce qui donne une représentation R. Dans un mouvement d'ensemble, les danseuses incarnent chacun des personnages et du texte. Intéresant. Publication originale.
De Catol Texeira, à Vidy. Un nouveau solo de Catol, un nouveau plaisir. Plusieurs danses, variées, répétitives, oscillant entre joie et tristesse, contrôle et lâcher prise, avec une grande ouverture vers le ciel bleu. Un objet transportant et inspirant. Publication originale.
De la Cie Nicole Seiler, à l'Arsenic. Un homme le torse peint en jaune, un grand nombre de masques d'oiseaux, des grincements, des borborygmes, des chants, quelques mots épars... une expérience particulière. Publication originale.
De la Cie Nicole Seiler, Fête de la Danse Lausanne. Il et elle ont le pas hésitant, bougent dans le silence... On apprend que leurs mouvements sont dictés par une IA et qu'iels les découvrent. On revoit la même chose avec la voix de l'IA qui les accompagne, puis encore une fois avec une musique suggérée par l'IA. Publication originale.
De la Cie champloO, à Nebia. Un peintre abstrait, des lumières, deux danseuses qui animent le tout : jeux d'ombres, d'objets, de muses, ... Beau travail qui a su m'emporter. Publication originale.