De Laure Betris & Amina Abouelghar, au festival de la Cité.
Dans le transept de la cathédrale, la musicienne construit ses morceaux, et la danseuse pratique un art très saccadé à la limite des spasmes.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De Laure Betris & Amina Abouelghar, au festival de la Cité.
Dans le transept de la cathédrale, la musicienne construit ses morceaux, et la danseuse pratique un art très saccadé à la limite des spasmes.