💃 - Danse

💃 Linearity

De Joshua Monten, au First Friday de Bienne. Nouvelle pièce de danse de rue de la compagnie, cette fois-ci un jeu avec de longues bandes de scotch. Toujours frais et drôle, avec un mélange de différents styles, et un final en voguing. Publication originale.

💃 Sacre

De la Cie Le Lokart, au Passage. Une revisite du Sacre du printemps de Stravinsky, façon post-apocalyptique et danse hip-hop. Belle énergie, mais où je me suis perdu. Publication originale.

💃 L'œil nu

De Maud Blandel, à l'Arsenic. Sur une dichotomie observateur / observé, astre / satellite, chasseur / chassé, six danseur·euses évoluent en rond. Quelques belles images, mais un peu trop répétitif à mon goût. Publication originale.

💃 Hominal / Hominal

De MadMoiselle MCH, à l'Arsenic. Elle danse en prenant des poses inspirées des catwalk, des frises égyptiennes, des sportives, etc. Tout cela devant de grandes peintures roses de son frère. Portraits à plusieurs niveaux de lecture. Publication originale.

💃 The Köln Concert

Du Schauspielhaus Zürich Dance Ensemble, à Vidy. Début avec une ambiance de défilé de mode dégenré, puis les danseur·euses s'approprient chacun·e la musicalité du concert de Keith Jarrett. Belle transposition de la musique dans le mouvement. Publication originale.

💃 Le Bal de Paris

De Blanca Li, à Nuithonie. Embarquer dans un univers en réalité virtuelle, où tout le monde porte tenue de soirée et masque animalier. Une histoire d'amour contrarié sert de fil rouge pour nous mener de lieu en lieu où danser. Déséquilibrant. Publication originale.

💃 Usure

De la Cie Zahrbat, au Passage. Danses en boucle du groupe, avec une personne ou un sous-groupe qui décale subtilement son mouvement, avant de faire une partie totalement différente. Magnifiques danseur·euses hip-hop, dans une mise en lumière sublime. Publication originale.

💃 DIEstinguished

De La Ribot, à Vidy. Onze danseur·euse·s marchent, courent, sautent, échangent leurs vêtements, tout en se filmant elleux même. Rapport d'échelle entre la scène et la vidéo sur nos téléphones. Publication originale.

💃 Parts

De la Cie Wang Ramirez, à l'Octogone.

D'abord 2 soli : avec terre et tulle pour elle, Satyre et bâton pour lui. Puis des retrouvailles sur un duo littéralement renversant au-dessus de l'eau. Sublime, féerique. 🤩 Mention spéciale pour le vol du tulle.

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💃 On & On & On

De la Cie Krassen Krastev, à l'Arsenic. Dans le noir, une musique monotone et pulsant, et trois barres de pole dance, illuminées de fins rayons de lumière. Trois danseur·euses tournent sur ces barres, créant ainsi des formes quasi abstraites. Publication originale.

💃 Wien, Wien, nur du Allein

Du BBL, au théâtre de Beaulieu. Ambiance de fin de règne et d'amours triangulaires impossibles dans cette reprise d'un ballet de 1982. Très classique dans les mouvements, quelques longueurs, et de belles images.

💃 Velvet

De la Cie Philippe Saire, au TBB. Trois danseur·euse·s évoluent sur une scène où diverses tentures viennent fréquemment les séparer. Plusieurs belles images, mais un propos qui me reste obscur.

💃 Faun / Ukiyo-e

De Sidi Larbi Cherkaoui, à Équilibre. Ses deux premières créations avec son ballet Suisse. Un duo animalo-forestier, et un groupe au milieu d'escaliers à la Escher sur musique japonaise. Inhabituel pour Cherkaoui, mais toujours très beau.

💃 Kick Ball Change

De la Cie Kardiak, à l'Échandole. Le duo nous emmène dans les coulisses d'une compétition de rock acrobatique. Répétitions, préparation mentale, tensions dans le duo, accueil du public... Tout l'envers du décor nous est montré avec brio.

💃 Yumé

De la Beaver Dam Company, à Nuithonie. Pièce pour quatre ombres et une femme. Son ombre décide de se faire la belle avec les trois autres, et elle la cherche. Les ombres sont ridicules comme il faut, l'univers est poétique et onirique à souhait. Joie !

💃 Les Porte-Voix

De Yasmine Hugonnet, à Vidy. Quatre danseur·euses, dans un décor rappelant aussi bien une cochlée qu'un iceberg (tout en ayant d'ailleurs sa mobilité) pratique la ventriloquie. Peu de mouvements, mais des réflexions sur la représentation.

💃 elGed(j)i / Molo(kheya)

De la Cie Tenseï, à Nebia. Plein de tendresse, de bienveillance, et d'amour dans ces deux courts soli inspirés par les grands-parents égyptiens du danseur, eux-mêmes présents en voix off. Très touchant et émouvant.

💃 My Epifunny

De Marco Berrettini, à l'Arsenic. Une scénographie coupée en deux par un catwalk se terminant dans le public ; une chronique des affres de la création du spectacle ; des réflexions sur la journée internationale courante. Un gros gloubi-boulga.

💃 Kosa

De Sankai Juku, à Équilibre. Une première d'un grand nom du būto. Les scènes de groupe m'emportent, me font ressentir une espèce de végétalité ou de frayeur, tout cela avec une expression se rapprochant de la statuaire. Même les saluts sont codifiés.

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