💃 · Danse

💃 L'électro showroom club

Du Collectif Agonie du Palmier, au Castrum. Un rituel pour re-érotiser nos vies. Appel aux déesses du désir et de la luxure, remerciements aux êtres qui nous entourent, effeuillage, consentement, ... Une approche drôlastique proche du clown du sujet. Publication originale.

💃 Mirage (un jour de fête)

De la Cie Dyptik, au Castrum. C'est un jour de fête : musique d'inspiration orientale, fleurs, danseur·euses, ... mais derrière la joie et la fête se cachent aussi des parts d'ombre. Une énergie qui déborde pour cette compagnie de danse hip-hop. Publication originale.

💃 Ya !

De la Cie Mues, à la Plage des 6 Pompes. Curly B. est folle amoureuse, et ne voit pas les signaux d'alerte dans sa relation. Entre théâtre d'objets et danse inspirée du flamenco, un seule en scène fort sur les violences sexistes. Publication originale.

💃 Je badine avec l'amour

De l'Association Cliché, aux Hivernales. En quoi la danse romantique des films influence-t-elle notre découverte de l'amour ? Ce spectacle visite cette interrogation avec beaucoup d'humour en reprenant des scènes de film et en en déplaçant parfois le genre. Publication originale.

💃 fragment(s)

De la Cie C Jay Art, à l'Espace Alya. Avec une sculpture de Bruno Catalano au centre, les danseur·euses évoquent les aléas de la vie et la reconstruction ensuite. Belle performance hip-hop. Publication originale.

💃 Mutuel

De Mailantia Dance Company, à la Condition des soies. Quatre danseuses, leurs longues tresses attachées ensemble. Des images de rapport de domination, ou de leadership, ou du roi des rats sont entre autres suggérées dans ce beau ballet. Publication originale.

💃 Delirious Night

De Mette Ingvartsen, dans la cour du lycée Saint-Joseph. Avec une énergie mêlant free parties du XXIè et manies de danse du moyen âge, est-ce que la danse jusqu'à l'épuisement peut nous aider à exorciser les tensions sociétales actuelles ? Un voyage en apnée pour le spectateur, et un brin répétitif. Publication originale.

💃 Bless this mess

De la Cie BARK, au festival de la CIté. Quatre danseur·euses, dans une proposition d'une intensité énorme, rythme enveloppant... On est en apnée avec elle·eux, tellement c'est prenant ! Publication originale.

💃 Hit (out)

De la Cie Parini Secondo, au festival de la Cité. Le regard fixe au lointain, quatre danseuses font de la corde à sauter en rythme, amenant petit à petit de la variété dans le mouvement. Un spectacle assez hypnotisant pour une sacrée performance physique. Publication originale.

💃 Medieval Crack

Du Collectif Foulles, au festival de la CIté. Iels prennent des poses inspirées des œuvres peintes du Moyen-Âge, racontent l'histoire de saints plus ou moins trans, et dansent quand même parfois sur du bardcore. Publication originale.

💃 Carte blanche

De Lili Parson Piguet & Catol Teixeira, au festival de la Cité. Au milieu de l'œuvre Crescendo, un duo plein de douceur et de tendresse, d'éloignements et de rapprochements, de suspensions capillaires ou avec un baudrier. Un moment suspendu qui m'a touché. Publication originale.

💃 Young Dreams

De Laure Betris & Amina Abouelghar, au festival de la Cité. Dans le transept de la cathédrale, la musicienne construit ses morceaux, et la danseuse pratique un art très saccadé à la limite des spasmes. Publication originale.

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