🎪 - Cirque

Natures mortes

De la Cie Moost, au festival de la Cité. Nouveau lieu, nouvelle vue, nouvelles découvertes. Cette soirée de fin d'année d'un EMS me fait toujours autant rire, leurs performances sont toujours aussi justes. À voir et revoir !

Dans mon cirque

De l'Association du Vide, au festival de la Cité. Réflexions (principalement via une émission de radio) sur l'art de la corde lisse et ses représentations de genre, avec deux numéros : un « à l'ancienne » et un contemporain. Maîtrise époustouflante, réflexion bienvenue.

À l'échelle

De la Cie Moost, à Plateforme 10. Vu quatre fois en deux jours, ce spectacle m'a à chaque fois fortement touché. Iels ont sublimé l'architecture de ces nouveaux musées par leurs jeux et leur humour.

À l'échelle

De la Cie Moost, à Plateforme 10. Huit circassien·ne·s s'amusent dans l'architecture de Plateforme 10, utilisant chacun de ses recoins. Plein de poésie, d'humour, et de belles images.

Palette(s)

De la Cie Moost, au Théâtre Sévelin 36 Énième vision de ce spectacle toujours évolutif, toujours aléatoire, toujours décalé, absurde, et drôle tout à la fois. Les équilibres n'auront pas été les plus stables que j'aie vus, mais mon plaisir est toujours aussi grand.

Terces

De Johann Le Guillerm, à Vidy. Une troisième vision, à chaque fois différente, car l'angle de vue et les imperfections ne sont jamais les mêmes. Mais je ne cesse de m'émerveiller devant ces si belles machines et constructions aux équilibres tellement instables.

Terces

De Johann Le Guillerm, à Vidy. Une deuxième vision bien agréable, permettant de s'attarder sur des détails passés plus ou moins inaperçus la première fois. Toujours autant poétique, toujours aussi beau, et qui continue à prendre son temps.

Terces

De Johann Le Guillerm, à Vidy. Poésie mécanique, poésie géométrique, poésie origami, poésie autonome, poésie du mouvement, mais poésie toujours et encore. Le secret ne sera par contre pas révélé !

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