De Lorena Stadelmann, à Rennweg 26. Ambiance post-apocalyptique pour cet objet hybride : trois personnes évoluent entre des seaux, font des bruits, dansent... on sent bien le mur apocalyptique qui nous attend tous. Très beau et prenant.
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🎭 Tous les sexes tombent du ciel
De Léa Katharina Meier, au Pommier. Une femme part dans un délire alcoolisé, de solitude, et finit par nous lire des histoires à coucher dehors. Gros moment what the fuck !
💃 Le miroir
De Plume Ducret, au Pommier. Plume s'attaque au problème du harcèlement et du male gaze en retournant un miroir à ces attitudes. Belle présence et occupation de l'espace dans ce seule en scène. Bluffant !
💃 Schein
De la Cie Idem, au TBB. Simulacres de contrôle, de domination, de politique, de ¼ d'heure de célébrité, de réseaux sociaux, ... Les six danseur·euses nous offrent là une belle partition pleine de très belles images.
🎭 Lust for life
De Lola Giouse, à Vidy. Ambiance de fête entre potes au bord du lac, quand l'un d'entre eux·elles affiche clairement sa dépression. Comment lui redonner l'envie de continuer ? Magnifiques performances, particulièrement de Géraldine Dupla.
🎭 Radio Jam
De M. Furlan et C. de Ribaupierre, à Vidy. Spectacle "entre" : entre concert et théâtre, rêve et éveil, fiction et réalité, Suisse et USA, l'univers de Napoleon Maddox et celui de Miro Caltagirone (Puts Marie). Néanmoins magnifique !
🎪 Là
De Baro d'Evel, à Vidy. Trio (y compris une pie) évoluant dans un univers immaculé, entre danse et cirque. Ils laissent leurs traces sur les murs, et nous emmènent dans leur bel univers poétique.
🎪 Parole en l'air
Du duo GingerMoustache, au terrain Gurzelen. Deux grands enfants, aux tempéraments complètement différents parlent de la vie tout en faisant du main à main. Très drôle.
🎭 Y'a moyen ?
De Nathanaël Rochat, à l'Échandole. Soirée humour stand-up, avec une première partie de Vishal, puis Nathanaël Rochat. Je n'ai définitivement pas les références nécessaires (séries TV, téléréalité, ...) pour apprécier ce genre d'humour.
💃 Outwitting the devil
De Akhram Khan, à Équilibre. Dans un décor entre cimetière et cercle de l'enfer selon Dante, six danseur·euses revisitent le mythe d'Orphée avec des démons inspirés de l'Inde. Magnifiques images, magnifiques performances.
💃 Blast!
De Ruth Childs, à l'Arsenic. Solo de danse, où tout se passe au ralenti. Elle prend principalement des poses faisant penser à des gens face au souffle d'une explosion. J'ai eu de la peine à rester attentif.
🎤 Oy
À Label Suisse. Beau mélange de cultures, d'époques (présent et futur), de planètes, de sons. Ce melting pot nous emmène loin, et nous pousse à intégrer les différences. La présence scénique solaire de Joy finit de rendre ce concert magnifique.
🎤 Corbal x Erik Truffaz
À Label Suisse. Un duo d'électro-pop accompagné par la trompette de Truffaz. Présence un peu en sous-jeu de Truffaz, beats manquant d'énergie à mon goût. Mais il arrive parfois que la mayonnaise prenne.
🎤 Arthur Henry
À Label Suisse Forme hybride de mini concert et présentation d'un nouveau projet vidéo. Ou quand le beatboxing rencontre le sampling vidéo. Plein de possibilités excitantes.
🎭 L'envol
De la Cie Nokill, à l'Échandole. Comment arriver à pratiquer le vol pur ? La Cie Nokill nous présente l'histoire du vol pur et sa méthodologie pour y parvenir en 3 semaines. Moment magique de poésie mêlant musique, théâtre, et films d'animation.
🎭 Bienvenue en 2022
De Yvan Richardet, au festival Alternatyv. Des voyageurs de l'an 2148 participent à un voyage organisé dans l'an 2022, soit quelques années avant le grand "choc". Visite improvisée pleine d'humour et de réflexions sur l'avenir durable.
🎤 Les Berceuses
Au Nouveau Monde. Huit musiciennes qui se retrouvent pour jouer des berceuses. Plein d'énergies différentes qui se rencontrent et se subliment dans un univers plein d'émotion. Elles font chaud au cœur.
🎤 Billie Bird
Au Romandie. Très beau concert (mais triste, mais beau) dans le cadre grandiose de l'église St-François. L'artiste a dû adapter ses chansons à cause de la réverbération du lieu ; l'émotion est au rendez-vous. Superbe final a capella hispanophone.
🎪 C'est ça aussi
De (La) Rue Serendip, à Nebia. Troisième vision en deux jours. Pas de vrais changements depuis la veille, mais un public plus participatif et prêt à jouer le jeu, malgré la chaleur intense.
🎪 C'est ça aussi
De (La) Rue Serendip, à Nebia. Deuxième vision quelques heures après la première. Déjà des améliorations concernant le rythme et l'enchaînement des scènes. Public conquis qui se laisse entraîner dans la danse.
🎪 C'est ça aussi
De (La) Rue Serendip, à Nebia. Spectacle mêlant danseur·euse·s, musiciens, circassien·ne·s dans une joie de bouger ensemble communicative. Constructions éphémères et échanges de rôles dynamisent le tout.