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Chez toi ou chez moi ?

De la Cie Les Malles, au Spot. L'histoire de Camille et Tony, voisins, artistes, mais que tout oppose. Pour lui, c'est le rock, pour elle l'opéra et la poésie. Magnifique manipulation de marionnettes que l'on croit vivantes.

La poésie du gérondif

De Benjamin Knobil, à la Dérivée. Une conférence foutraque, donnée par un linguiste s'intéressant avant tout aux langues rares, sur les spécificités grammaticales de certaines de ces langues.

La fanfare balnéaire illimitée

À la Dérivée. Iels ont troqué leurs uniformes de fanfare pour un t-shirt marinière et des shorts. Leur musique a également migré des Balkans pour s'approcher de la méditerranée : tarentelles, chanson de marin, ... Mais toujours autant d'énergie

Studio LesZarts de Vevey

Au parc Valency, dans le cadre des Garde Parties de Lausanne. Spectacle de danse urbaine, prenant pas mal d'inspiration dans le krump, et s'interrogeant sur l'aveuglement face à la violence tant qu'elle n'est pas virale dans nos téléphones.

Miss Margherita

De la Cie TITA8LOU, au parc Valency, dans le cadre des Garde Parties de Lausanne. Une pizzaïola fait tourner la pâte tout en racontant que ses déconvenues amoureuses l'ont amenée à améliorer sa recette. Final de chansons chantées à l'envers assez incroyable.

Kiki House of Phoenix

Au festival de la Cité. Plusieurs mini-événements dans une soirée : discussion sur la scène ballroom, workshop vogueing (je manque sérieusement de souplesse, mais c'était bien), démo par les membres de la Kiki House of Phoenix. Entraînant.

Ichi

Au festival de la Cité. Un one-man-band japono-britannique, faisant feu de tout bois pour les instruments (un ballon de gym ?!?). Drôle, plein d'énergie, délectable.

bullet time

De Maya Masse, Louis Schild et Wrestler, au festival de la Cité. Du krump au ralenti... avec des sauts dans le temps façon chapitrage DVD, et tout ça sous un soleil tapant terriblement fort.

Dans mon cirque

De l'Association du Vide, au festival de la Cité. Revoir encore et encore, mais cette fois-ci durant l'après-midi. Le texte ne change pas ("Bienvenue ce soir..."), seuls les feux d'artifice disparaissent. Toujours bien.

Kill your darlings

De Joshua Monten. Deux danseurs commencent un jeu de marelle qui contraint leurs mouvements dans ses cases. Évidemment, l'espace vient à manquer, ils se marchent l'un sur l'autre, et cela finit en une joussive bataille de craie.

Nerds

Au festival de la Cité. Quatre joueurs de fanfare, habillés selon l'image cliché des nerds, reprennent des morceaux des nineties en version brass band. Belle ambiance festive et nostalgique.

Dans mon cirque

De l'Association du Vide, au festival de la Cité. Retour dans l'univers de Fragan Gehlker et Viivi Roiha, cette fois-ci en emmenant des amis. Leur duo contemporain à la corde lisse continue de m'impressionner. Force, précision, et majesté.

Résilience mon cul

De Joël Maillard, au festival de la Cité. Sorte de stand-up durant lequel Joël s'interroge sur l'intérêt de continuer à vivre face à l'urgence climatique. Je l'avoue, ma fatigue des jours précédents fait que je n'ai eu qu'une vision très partielle du spectacle.

La lévitation réelle

De L'Immédiat, au festival de la Cité. Nouvelle vision de ce spectacle. Car pourquoi se priver du plaisir de voir et revoir une telle perfection ? Ce spectacle restera probablement mon coup de cœur découverte de ce festival !

Try walking in my hooves

De Soya the Cow, Au festival de la Cité. Déambulation en ville, menée par une vache activiste, en accordant une attention particulière aux animaux et aux plantes. Pistes de réflexion sur le véganisme et l'anti-spécisme. Belle perfo.

Bestiaire

De la Cie BAL, au festival de la Cité. Solo de danse inspiré des attitudes des animaux en cage. Tout y passe : canidé, félin, primate, phoque, coq, ... Il réussira quand même à s'échapper de sa cage à un moment. Réactions très vives du public, particulièrement les enfants.

Natures mortes

De la Cie Moost, au festival de la Cité. Nouveau lieu, nouvelle vue, nouvelles découvertes. Cette soirée de fin d'année d'un EMS me fait toujours autant rire, leurs performances sont toujours aussi justes. À voir et revoir !

Fighting

De Shaymaa Shoukry, au festival de la Cité. Duo de danse, où des mouvements de combats ou arts martiaux se transforment petit à petit en mouvements de clubbers ou d'amant·es. Mélange de styles et d'ambiances.

Dans mon cirque

De l'Association du Vide, Au festival de la Cité. Réflexions (principalement via une émission de radio) sur l'art de la corde lisse et ses représentations de genre, avec deux numéros : un « à l'ancienne » et un contemporain. Maîtrise époustouflante, réflexion bienvenue.

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De Cie Pieds Perchés et Collectif Micro Focus, au festival de la Cité. Déambulation citadine avec une grosse corde rouge comme liant entre les acrobates et également le public. Lieux insolites pour acrobaties aériennes.

La lévitation réelle

De L'Immédiat, au Festival de la Cité. Une femme est en désaccord avec la force de la gravité et ne peut s'empêcher de s'envoler. Des passants essaient de la retenir... Un petit bijou circassien, tout en finesse et réalité, à consommer sans modération.

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