De la Cie Moost, au Pommier. Deuxième vision, de nouvelles couches d'absurdité sont visibles. Étaient-elles déjà là la première fois, ou sont-elles vraiment nouvelles. Dans tous les cas, toujours beaucoup de plaisir et de rires !
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Terces
De Johann Le Guillerm, à Vidy. Poésie mécanique, poésie géométrique, poésie origami, poésie autonome, poésie du mouvement, mais poésie toujours et encore. Le secret ne sera par contre pas révélé !
Natures Mortes
De la Cie Moost, au TBB. Une soirée festive dans un EMS de circassiens... Absurde, lent, et drôle à souhait, avec comme assaisonnement la petite pointe de peur dans le public qui est la marque de fabrique de la compagnie Moost !
Backstage
De la CMI, au CPO. Toutes les (més)aventures du 4ème Garde la Perche Festival, célèbre pour ses coups de foudre divers, et un moment très intimiste où le public a remplacé l'éclairage en panne. Beaucoup de plaisir et d'amusement des deux côtés de la scène.
Quidam
De la Cie du Cachot, à l'Échandole. Voyage au début des temps, en Mésopotamie, et déjà du vol de propriété intellectuelle en vue d'assurer une dominance guerrière... Toutefois, de bonnes grosses doses de rire et d'absurde !
Bonbon Vodou
À l'Échandole. Mélange de musiques créole et française, mélange de chansons joyeuses et mélancoliques, mélange d'émotions tristes et drôles, mélange de langues pour les paroles ; mélanges très réussis ! Le plaisir de retrouver JereM sur scène est grand.
Crâne
De la Cie de Facto, à Nebia. Les détails de l'ablation d'une tumeur au cerveau, racontés selon trois points de vue. Passionnant et terrorisant. Le passage où le patient doit faire preuve de ses capacités mentales pendant l'opération est marquant !
The Dancing Public
De Mette Ingvartsen, à Vidy. "Ce soir, on va danser !" Étrange objet : entre exposé sur les manies de danse à travers les siècles, rave party, et transe collective. La danseuse dégage une puissance magnifique. Jouissif, instructif, et libérateur !
Open/Closed
De Pierre Piton, à l'Arsenic. Danse solo sur de la drone music. Beaucoup de positions d'équilibre improbable, évolution les yeux fermés au milieu du public, avant une disparition sous les tapis de danse...
La Maison de mon esprit
De Old Masters, à l'Arsenic. Théâtre d'objet, doux et bienveillant, sur la création en équipe et l'auto dénigrement. Plein de belles utilisations et de jeux avec les objets.
La Collection
Du Collectif BPM, à l'Échandole. Des objets obsolètes, qui nous racontent (sans être vus) des anecdotes de la vie des comédiens, ou des scènes cultes de film, ou encore juste une description détaillée. Une performance incroyable, et très très drôle.
Le Grand Feu
De Mochélan, à Nebia. Un slammeur reprend les textes de Brel et nous parle de la vie de l'artiste. Brûlant d'actualité ! Et brillant !
Roméo : les lettres
De la Cie 5/4, à l'Oriental Erreur de lecture : je m'attendais à un spectacle jazzy sur des lettres d'amour du XVIè ; c'était un concert de musique classique contemporaine, avec chant lyrique de lettres du XXIè... Très beau décor.