Au festival de la Cité. Quatre joueurs de fanfare, habillés selon l'image cliché des nerds, reprennent des morceaux des nineties en version brass band. Belle ambiance festive et nostalgique.
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Dans mon cirque
De l'Association du Vide, au festival de la Cité. Retour dans l'univers de Fragan Gehlker et Viivi Roiha, cette fois-ci en emmenant des amis. Leur duo contemporain à la corde lisse continue de m'impressionner. Force, précision, et majesté.
Résilience mon cul
De Joël Maillard, au festival de la Cité. Sorte de stand-up durant lequel Joël s'interroge sur l'intérêt de continuer à vivre face à l'urgence climatique. Je l'avoue, ma fatigue des jours précédents fait que je n'ai eu qu'une vision très partielle du spectacle.
La lévitation réelle
De L'Immédiat, au festival de la Cité. Nouvelle vision de ce spectacle. Car pourquoi se priver du plaisir de voir et revoir une telle perfection ? Ce spectacle restera probablement mon coup de cœur découverte de ce festival !
Try walking in my hooves
De Soya the Cow, Au festival de la Cité. Déambulation en ville, menée par une vache activiste, en accordant une attention particulière aux animaux et aux plantes. Pistes de réflexion sur le véganisme et l'anti-spécisme. Belle perfo.
Frontera | Border - A Living Monument
De Amanda Piña, Au festival de la Cité. Ambiance défilé de mode au ralenti, avec un rythme répétitif et menant à une sorte de trance. Attitudes des danseur·euses inspirées aussi bien des gangs que des Black blocks ou des shamans.
Bestiaire
De la Cie BAL, au festival de la Cité. Solo de danse inspiré des attitudes des animaux en cage. Tout y passe : canidé, félin, primate, phoque, coq, ... Il réussira quand même à s'échapper de sa cage à un moment. Réactions très vives du public, particulièrement les enfants.
Théâtre de papier
De RAUXA CIA, au festival de la Cité. Un homme que tout rend heureux joue avec des personnages de papier à tête de baudruche. Poétique, léger, tout public, ...
Natures mortes
De la Cie Moost, au festival de la Cité. Nouveau lieu, nouvelle vue, nouvelles découvertes. Cette soirée de fin d'année d'un EMS me fait toujours autant rire, leurs performances sont toujours aussi justes. À voir et revoir !
Fighting
De Shaymaa Shoukry, au festival de la Cité. Duo de danse, où des mouvements de combats ou arts martiaux se transforment petit à petit en mouvements de clubbers ou d'amant·es. Mélange de styles et d'ambiances.
Dans mon cirque
De l'Association du Vide, Au festival de la Cité. Réflexions (principalement via une émission de radio) sur l'art de la corde lisse et ses représentations de genre, avec deux numéros : un « à l'ancienne » et un contemporain. Maîtrise époustouflante, réflexion bienvenue.
J'aurais voulu être un pot de fleurs
Du Collectif Xanadou, au festival de la Cité. Bienvenue dans l'appartement de Mathieu (?) alors qu'il essaie de mettre fin à ses jours. Il estime ne pas avoir accepté les clauses du contrat social. Réflexion punk et grinçante sur le jeu social.
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De Cie Pieds Perchés et Collectif Micro Focus, au festival de la Cité. Déambulation citadine avec une grosse corde rouge comme liant entre les acrobates et également le public. Lieux insolites pour acrobaties aériennes.
La lévitation réelle
De L'Immédiat, au Festival de la Cité. Une femme est en désaccord avec la force de la gravité et ne peut s'empêcher de s'envoler. Des passants essaient de la retenir... Un petit bijou circassien, tout en finesse et réalité, à consommer sans modération.
Retour à la Cerisaie
De la Cie ADVQ, à Vidy. Réinterprétation / réécriture de la pièce de Tchekhov. Plongée au plus proche des comédien·ne·s par le biais de casques audio. Je réessaie souvent, mais chaque fois la même conclusion : Tchekhov n'est pas ma tasse de thé.
42e marathon de la chanson improvisée
De la CMI, à la Fête de la Musique d'Yverdon. Quatre compétiteur·trices et un pianiste ont quatre heures pour improviser 42 chansons. Le tout chapeauté par un commentateur sportif et un juge invisible. Tiendront-iels le coup jusqu'à la ligne d'arrivée ?
Don't kill Duncan
À la Fête de la Musique de Lausanne. Trio rock, dont la vie fantasmée du groupe a déjà été présentée lors d'un Midi-Théâtre. À la fois sérieux et décalé, intello et prenant aux tripes.Ils méritent d'être revus dans un cadre plus adapté qu'un bord de route à la Fête de la Musique.
Knobil or not Knobil
À la Fête de la Musique de Lausanne. Louise Knobil (contrebasse, basse), accompagnée de cinq musiciens, présente ses chansons jazz. Belle exécution, belles compositions, mais un peu trop lounge pour correspondre à mes goûts.
Cod.Act : VonRollTwist V
À Plateforme 10. Un homme enchaîné par un réseau de cordes se débat pour se libérer. Chacun de ses mouvements déclenche des sons. Une métaphore incitant à se libérer de ses entraves ?
Daya Jones, Ride 88
À Plateforme 10. Solo de danse hip-hop, bien plus calme que le Collectif Ouinch Ouinch. Très belles chorégraphies, cherchant l'interaction avec le public.