
Au TBB, organisé par l'Échandole.
Duo père & fils, guitare & violoncelle, complicité & tendresse, technique & virtuosité, flamenco & .... ah non, juste flamenco. Je n'aime pas ce style de danse, je n'ai pas aimé la musique seule.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
Au TBB, organisé par l'Échandole.
Duo père & fils, guitare & violoncelle, complicité & tendresse, technique & virtuosité, flamenco & .... ah non, juste flamenco. Je n'aime pas ce style de danse, je n'ai pas aimé la musique seule.
De la Cie Frakt', à Rennweg 26. Quelques jours plus tard, revoir cette pièce dans une plus petite salle. L'intimité lui donne plus de force, la proximité permet de voir les détails des marionnettes, le plaisir est toujours grand !
De la Cie Alors voilà, à Nebia Poche. Deux comédiennes retranscrivent sur scène des témoignages sur la masturbation qu'elles ont récoltés de personnes très différentes. Plein d'humour et de légèreté sur un sujet étonnant et passionnant.
Par l'OCL, à la salle Métropole. Deux pièces courtes de Mozart, en petite formation (quartet et quintet) durant la pause de midi. Belle interprétation, mais il me manque clairement les codes pour comprendre et apprécier la musique classique.
De la Cie Frakt, au TBB. Basé sur un conte d'Andersen, ces marionnettes nous racontent avec douceur, humour, et tendresse l'importance de laisser libre ce(ux) qu'on aime et que vivre enfermé, même avec richesses, n'est pas une vie.
À Urgence Disk Records, festival La Teuf.
Concert en tout petit comité, où Fabian présente son électro-pop de punk de salon. Plaisir de (re)voir ce duo sur une scène, et un sentiment de cocooning et de bienveillance général avec l'intimité du lieu.
De la Cie Les Voyages Extraordinaires, au Petit Théâtre de Lausanne. Une adaptation pour jeune public de la BD de McCay. Beaucoup de machinerie, quelques beaux moments ; difficile d'adapter la liberté de la BD entre les quatre murs d'un théâtre.
Des PCGB, au TBB. Les Petits Chanteurs à la Gueule de Bois s'associent à Marc Donnet-Monay pour nous raconter avec humour et une pointe d'irrévérence l'histoire de la nativité. Une bonne tranche de rire. 😆
Du GIN, aux Citrons Masqués. Après quelques jeux d'impro, une longue impro à rebondissements, partie d'un premier rendez-vous amoureux à la Maison Blanche, et qui nous mène à des parties fines avec le président ou même sa mort selon le choix!
De la Cie Primo d'abord, au TBB. Deux hommes se rencontrent sur un banc et éclatement échangent à propos de leur vie et de leur carrière : comédien pour l'un, entrepreneur pour l'autre. Touchant, et émouvantes réflexions sur le sens de la vie.
Du BBL, au théâtre de Beaulieu. Ambiance de fin de règne et d'amours triangulaires impossibles dans cette reprise d'un ballet de 1982. Très classique dans les mouvements, quelques longueurs, et de belles images.
De la Cie Dog Production, au 2.21. Cinq comédien·ne·s nous récitent des extraits d'histoires d'amour tirées de textes littéraires modernes. En général, elles finissent mal.
De Martin Zimmermann, à Nebia. Quatre clowns macabres nous entraînent dans un univers de déchets et de déséquilibres. Tout bouge, tout tourne, tout chute... Magnifiques performances des quatre interprètes, malaisantes juste comme il faut.
Du Collectif Moitié Moitié Moitié, à l'Échandole. Ou les méfaits de la communication managériale bienveillante dans un décor IKEA... Plein de pensées et concepts bullshit pour montrer l'inanité des réunions créatives en entreprise.
De Cardellini / Gonzalez, à Vidy. Être spectateur d'une visite guidée d'un théâtre, expérience peu banale. La guide en profite pour faire l'explication du lieu et de son histoire générale. Amusant, mais peut-être trop didactique.
De la Cie Philippe Saire, au TBB. Trois danseur·euse·s évoluent sur une scène où diverses tentures viennent fréquemment les séparer. Plusieurs belles images, mais un propos qui me reste obscur.
De Joël Maillard, à l'Échandole. Joël s'attaque au format du seul en scène et du stand-up. Avec son style décalé inimitable, il s'interroge sur sa capacité de résilience et sur ce que la postérité lui réserve.
De la CMI, à la Maison de quartier de Chailly. Un sapin déraciné et jetteur de sort, une maman canard pondeuse d'œufs en diamant et perdue, une top-modèle possessive, ... Tout cela donne au final une jolie fable sur le consentement.
De la Cie Les Eaux Courantes, à l'Oriental. Un concert BD, durant lequel un musicien joue la bande-son, écrite pour l'occasion, de la BD de Krum. Belle envolée onirique dans l'univers de cette BD, aux images magnifiées sur un écran géant.
De la Cie Extrapol, au Reflet. Émilienne, jeune autiste, fait un spectacle sur sa vie, avec sa mère et un musicien qui l'accompagnent. Tout ne se passe pas forcément comme prévu, mais tout est très émouvant et touchant.