Du Cirque Pardi, à Cirque au Sommet. Deuxième occasion de voir ce spectacle, malheureusement sans succès. Une très mauvaise chute d'un des acrobates peu après le début a mis fin à la représentation. J'espère qu'il s'en remettra pleinement.
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Oraison
De la Cie Rasposo, à Cirque au Sommet. Étrange OVNI mélangeant un univers très show à l'américaine (avec chauffeur de salle !) et un univers très décalé et sombre avec fil de fer, lancer de couteaux, et clown blanc déprimé. Intense !
Möbius
De la Cie XY, à Cirque au Sommet. Dix-neuf (!) acrobates tous·tes excellent·es font un show magnifique de vols et de portés, inspiré du vol des étourneaux. Cette murmuration est d'une poésie sidérante !
NO PANICATION
À Cirque au Sommet. Le public, couché directement sous le portique, observe les figures d'une trapéziste accompagnée d'un guitariste, tout ça au milieu d'un alpage. Le point de vue original augmente les sensations.
Frigo [Opus 2]
De Dis bonjour à la dame, à la Plage des 6 Pompes. Un clown construit sur son frigo une machine pour s'envoler. Des longueurs entrecoupées de beaux et francs moments de rire.
Francis sauve le monde
De la Cie Victor B., à la Plage des 6 Pompes. Adaptation de la BD "Francis blaireau farceur" pour trois comédien·nes et plein de peluches. L'humour corrosif de la BD est restitué à merveille. Un grand moment.
How to do things with words
De Joshua Monten, à La Plage des 6 Pompes. Nouvelle création de Joshua Monten, où trois danseur·euses dansent inspiré·es par des mots donnés dans l'ordre alphabétique. Comme à chaque fois, beaucoup de joie, d'humour, de plaisir.
Chez toi ou chez moi ?
De la Cie Les Malles, au Spot. L'histoire de Camille et Tony, voisins, artistes, mais que tout oppose. Pour lui, c'est le rock, pour elle l'opéra et la poésie. Magnifique manipulation de marionnettes que l'on croit vivantes.
La poésie du gérondif
De Benjamin Knobil, à la Dérivée. Une conférence foutraque, donnée par un linguiste s'intéressant avant tout aux langues rares, sur les spécificités grammaticales de certaines de ces langues.
La fanfare balnéaire illimitée
À la Dérivée. Iels ont troqué leurs uniformes de fanfare pour un t-shirt marinière et des shorts. Leur musique a également migré des Balkans pour s'approcher de la méditerranée : tarentelles, chanson de marin, ... Mais toujours autant d'énergie
Studio LesZarts de Vevey
Au parc Valency, dans le cadre des Garde Parties de Lausanne. Spectacle de danse urbaine, prenant pas mal d'inspiration dans le krump, et s'interrogeant sur l'aveuglement face à la violence tant qu'elle n'est pas virale dans nos téléphones.
L'effet Philémon
Au parc Valency, dans le cadre des Garde Parties de Lausanne. Septet (dans lequel on retrouve Félicien LiA, ou encore Louise Knobil) instrumental jouant des morceaux plutôt dansants, entre le rock et le jazz.
Miss Margherita
De la Cie TITA8LOU, au parc Valency, dans le cadre des Garde Parties de Lausanne. Une pizzaïola fait tourner la pâte tout en racontant que ses déconvenues amoureuses l'ont amenée à améliorer sa recette. Final de chansons chantées à l'envers assez incroyable.
Kiki House of Phoenix
Au festival de la Cité. Plusieurs mini-événements dans une soirée : discussion sur la scène ballroom, workshop vogueing (je manque sérieusement de souplesse, mais c'était bien), démo par les membres de la Kiki House of Phoenix. Entraînant.
Ichi
Au festival de la Cité. Un one-man-band japono-britannique, faisant feu de tout bois pour les instruments (un ballon de gym ?!?). Drôle, plein d'énergie, délectable.
Natures mortes
De la Cie Moost, Au festival de la Cité. Nouvelle visite à cet EMS pour circassiens, cette fois-ci en version goûter tout public. Joyeux, bon enfant, touchant.
bullet time
De Maya Masse, Louis Schild et Wrestler, au festival de la Cité. Du krump au ralenti... avec des sauts dans le temps façon chapitrage DVD, et tout ça sous un soleil tapant terriblement fort.
Dans mon cirque
De l'Association du Vide, au festival de la Cité. Revoir encore et encore, mais cette fois-ci durant l'après-midi. Le texte ne change pas ("Bienvenue ce soir..."), seuls les feux d'artifice disparaissent. Toujours bien.
Kill your darlings
De Joshua Monten. Deux danseurs commencent un jeu de marelle qui contraint leurs mouvements dans ses cases. Évidemment, l'espace vient à manquer, ils se marchent l'un sur l'autre, et cela finit en une joussive bataille de craie.
Quintet de clowns
Mini spectacle où cinq clowns veulent préparer leur beach body en vue de l'été qui arrive. Les différentes personnalités sont bien marquées et leur dynamique est évidemment drôle. 😁