De la Cie Marchepied, à l'Arsenic.
Deux pièces courtes : une première où tout est mouvement, intensité, poids ; une deuxième où tout est porté vers le porté, les corps s'envolent, semblent d'une légèreté infinie.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la Cie Marchepied, à l'Arsenic.
Deux pièces courtes : une première où tout est mouvement, intensité, poids ; une deuxième où tout est porté vers le porté, les corps s'envolent, semblent d'une légèreté infinie.