De la Cie Judith Desse, au 2.21.
Ici, tout est noir gris ou blanc, même la peau des cinq danseur·euses. Iels nous montrent la lenteur de la vie dans un home. Une danse avec des réminiscences de butō et de Bausch.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la Cie Judith Desse, au 2.21.
Ici, tout est noir gris ou blanc, même la peau des cinq danseur·euses. Iels nous montrent la lenteur de la vie dans un home. Une danse avec des réminiscences de butō et de Bausch.