
À l'Échandole, festival Nova Jazz.
Groupe monté pour l'occasion, afin de faire un hommage à un trompettiste récemment décédé. Batteur trop présent à mon goût, mais concert sauvé par une chanteuse.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
À l'Échandole, festival Nova Jazz.
Groupe monté pour l'occasion, afin de faire un hommage à un trompettiste récemment décédé. Batteur trop présent à mon goût, mais concert sauvé par une chanteuse.
Par le Duo du bas, Nebia Poche.
Des portraits de Géantes (des personnes un peu étranges) en chansons (en plusieurs langues) et musique à objets. Plein de bienveillance, de douceur, de bonté, et d'humanisme... Bouleversant !
À l'Échandole.
Plus de vingt ans plus tard, (re)découvrir un album des Young Gods composé spécialement pour l'Expo.02 à Yverdon. Ambiance chill et plantes vertes, dans un environnement nébuleux, pour cette soirée apéro after-work.
Au TBB, organisé par l'Échandole.
Duo père & fils, guitare & violoncelle, complicité & tendresse, technique & virtuosité, flamenco & .... ah non, juste flamenco. Je n'aime pas ce style de danse, je n'ai pas aimé la musique seule.
Par l'OCL, à la salle Métropole. Deux pièces courtes de Mozart, en petite formation (quartet et quintet) durant la pause de midi. Belle interprétation, mais il me manque clairement les codes pour comprendre et apprécier la musique classique.
À Urgence Disk Records, festival La Teuf.
Concert en tout petit comité, où Fabian présente son électro-pop de punk de salon. Plaisir de (re)voir ce duo sur une scène, et un sentiment de cocooning et de bienveillance général avec l'intimité du lieu.
Des PCGB, au TBB. Les Petits Chanteurs à la Gueule de Bois s'associent à Marc Donnet-Monay pour nous raconter avec humour et une pointe d'irrévérence l'histoire de la nativité. Une bonne tranche de rire. 😆
De Elvett et Simon Aeschimann, à l'Échandole. Sinus le lapin veut devenir chanteur. Il sera aidé par le loup Disto et partiront à la chasse aux sons. Joli conte sur fond de musique électro, présentant le b.a.ba de la composition d'un morceau.
Par l'OCL, à la salle Métropole. Un Pierre et le Loup (chaque perso d'une histoire est représenté par un instrument spécifique) en version nipponne, interprété par un orchestre de Lausanne. La musique classique ne m'emporte pas.
Au Suisse Fondue Festival. La FBI se retrouve à jouer dans le coin d'un bar, avec une ambiance de kermesse, parmi les odeurs de fondue. On a connu cadre plus accueillant et agréable, et public plus attentif...
À l'Amalgame. Dark Queen rappe en tamoul sur des thèmes d'intégration. Net besoin de gagner en assurance sur scène. Baby Volcano rappe en espagnol et anglais sur des thèmes féministes, très forte présence scénique. Impressionnante.
À l'espace Held. Concert solo de jazz harpe dans une galerie d'art africain, avec quelques reprises (Take 5, Bohemian Rhapsody, ...), et de l'humour absurdo-non-sensique pour les lier à des compositions personnelles (Merci Durian, ...)
À Nebia Poche. Première fois que je les vois en quatuor et non duo ; leur musique prend plus de corps. Et leur humour pince-sans-rire continue à embarquer le public dans leurs chansons plutôt tristes, mais sur mélodies enjouées.
Au Festival Jazz Onze+. Concert intimiste pour parents et enfants dès 5 ans. Expérience intéressante de ressentir le son via un ballon de baudruche. Giulia présente son univers entre beat box et chanson électro, le tout très doré.
À l'Échandole. Duo guitare électrique et oud, entre rock et musique orientale, entre France et Syrie, entre sérieux et humour. Balade souvent planante, parfois plus rythmée, au sein de tous ces interstices.
À l'Amalgame. Revoir Honey for Petzi après vingt ans, renouer avec mon époque post-rock. Belle découverte avec le duo Équipe de Foot, leure grande énergie et auto dérision forment un beau cocktail.
À l'Échandole. Première d'un concert en solo pour ce pianiste de jazz. Pour meubler l'espace, il est accompagné de projections vidéo sur les murs. Utilisation très variée et parfois déconcertante de son instrument.
À Nebia Poche. Un duo d'extra-terrestres interprète des chansons, principalement basées sur le quotidien, dans un style plus ou moins rap. Human beat-box, loopers, guitare, chant sont les ingrédients d'une soupe qui prend bien.
De Sara Oswald, à l'Échandole. Vernissage de l'album solo de Sara, inspiré par ses randonnées en montagne. Bien que solo, elle s'accompagne au piano, et d'autres musiciens sont là via samples. Magnifique moment, aux lumières tamisées.
À Label Suisse. Beau mélange de cultures, d'époques (présent et futur), de planètes, de sons. Ce melting pot nous emmène loin, et nous pousse à intégrer les différences. La présence scénique solaire de Joy finit de rendre ce concert magnifique.