
À l'Échandole.
Un très beau concert de douceur, de bienveillance, malgré des textes plutôt sombres. Belle connivence entre ces six femmes, pour cette première fois avec cette formation. De quoi se dire que le monde n'est peut-être pas si mauvais...
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
À l'Échandole.
Un très beau concert de douceur, de bienveillance, malgré des textes plutôt sombres. Belle connivence entre ces six femmes, pour cette première fois avec cette formation. De quoi se dire que le monde n'est peut-être pas si mauvais...
Au Pommier. Après le faux documentaire, le vrai concert. Le trio du collectif Duncan nous présente son premier EP de compositions pop-rock. Une belle énergie, et amusant de les voir ainsi juste après ce faux "biopic" sur leur carrière. Publication originale.
À l'Échandole. Les textes de Stéphane Block rencontrent le jazz du trio 60 Miles et le saxophone de Guillaume Perret pour nous emmener à la découverte du jardin d'Eden. Une musique entre jazz et pop-rock, mais trop forte pour bien comprendre les textes. Publication originale.
De Sara Oswald, au Cully Jazz Festival. Redécouverte de ces morceaux en version acoustique dans un temple. Bel univers, très différent de la version amplifiée vue auparavant. Moment enchanteur. Publication originale.
À Fri-Son.
Oy continue à évoluer dans son univers et son charisme fonctionne.
Dès les premières paroles d'Emilíana, la chair de poule. A-t-elle amené de l'air d'Islande ? Magnifiques musiciens, sublime concert.
À l'Échandole. Un quartet entre math-jazz et post-rock, avec un pianiste très expressif. Un trio basse guitare batterie entre Shoegaze, post-rock et post-hardcore. Rythmes superposés et qui montent en intensité. Belle découverte. Publication originale.
À Nebia Poche, dans le cadre du First Friday. Llimace chante en s'accompagnant d'un looper, d'une guitare, ou en utilisant son corps comme percussions. Parfois slam, parfois chansons, des textes beaux, doux, et drôles sur la non-binarité. Publication originale.
Au Nouveau-Monde, festival Textures. La douce musique de Sara accompagne les textes pleins d'humour d'Antoine. On y parle de retours de fast fashion, de soirées échangistes, de ne pas être content, et plein d'autres choses ! Publication originale.
Au Temple d'Yverdon. Après plusieurs reports, voici enfin le concert de Christian Zehnder. Mélange de youtse, chant diphonique, synthétiseurs analogiques, accordéon, ... Plaisir de se laisser emporter à nouveau dans ses univers avec humour. Publication originale.
Au Passage. Le Grand Eustache invite Erik Truffaz pour une collaboration. Bel hommage au BBFC et à leur liberté par toute cette troupe de musiciens. Publication originale.
À l'Échandole, festival Nova Jazz.
Groupe monté pour l'occasion, afin de faire un hommage à un trompettiste récemment décédé. Batteur trop présent à mon goût, mais concert sauvé par une chanteuse.
Par le Duo du bas, Nebia Poche.
Des portraits de Géantes (des personnes un peu étranges) en chansons (en plusieurs langues) et musique à objets. Plein de bienveillance, de douceur, de bonté, et d'humanisme... Bouleversant !
À l'Échandole.
Plus de vingt ans plus tard, (re)découvrir un album des Young Gods composé spécialement pour l'Expo.02 à Yverdon. Ambiance chill et plantes vertes, dans un environnement nébuleux, pour cette soirée apéro after-work.
Au TBB, organisé par l'Échandole.
Duo père & fils, guitare & violoncelle, complicité & tendresse, technique & virtuosité, flamenco & .... ah non, juste flamenco. Je n'aime pas ce style de danse, je n'ai pas aimé la musique seule.
Par l'OCL, à la salle Métropole. Deux pièces courtes de Mozart, en petite formation (quartet et quintet) durant la pause de midi. Belle interprétation, mais il me manque clairement les codes pour comprendre et apprécier la musique classique.
À Urgence Disk Records, festival La Teuf.
Concert en tout petit comité, où Fabian présente son électro-pop de punk de salon. Plaisir de (re)voir ce duo sur une scène, et un sentiment de cocooning et de bienveillance général avec l'intimité du lieu.
Des PCGB, au TBB. Les Petits Chanteurs à la Gueule de Bois s'associent à Marc Donnet-Monay pour nous raconter avec humour et une pointe d'irrévérence l'histoire de la nativité. Une bonne tranche de rire. 😆
De Elvett et Simon Aeschimann, à l'Échandole. Sinus le lapin veut devenir chanteur. Il sera aidé par le loup Disto et partiront à la chasse aux sons. Joli conte sur fond de musique électro, présentant le b.a.ba de la composition d'un morceau.
Par l'OCL, à la salle Métropole. Un Pierre et le Loup (chaque perso d'une histoire est représenté par un instrument spécifique) en version nipponne, interprété par un orchestre de Lausanne. La musique classique ne m'emporte pas.
Au Suisse Fondue Festival. La FBI se retrouve à jouer dans le coin d'un bar, avec une ambiance de kermesse, parmi les odeurs de fondue. On a connu cadre plus accueillant et agréable, et public plus attentif...