De Tsubasa Watanabe, à la Plage des 6 Pompes.
Entre danse et jonglage, ce numéro solo de diabolo est un magnifique moment de poésie d'un être perdu entre deux mondes et cherchant la beauté.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De Tsubasa Watanabe, à la Plage des 6 Pompes.
Entre danse et jonglage, ce numéro solo de diabolo est un magnifique moment de poésie d'un être perdu entre deux mondes et cherchant la beauté.
Du Collectif Ü, à la Plage des 6 Pompes. Claude et Claude attendent Claude pour débuter LA Teuf... mais il ne viendra plus. Iels feront tout pour continuer le mouvement malgré la répression ! Un spectacle tout frais qui mérite d'être encore un peu poli. Publication originale.
De la Cie Tout n'est pas perdu, à la Factory. Deux clowns devineresses utilisent nos déchets pour prédire l'avenir, qui s'annonce sombre "... sauf si...". Un peu scato, mais amusant. Publication originale.
De la Cie HKC, au Théâtre du Train Bleu. Entre danse et cirque, elle nous parle des clichés de genre qui l'ont accompagnés durant sa jeunesse et des cadavres dans son histoire familiale, tout en dansant avec sa roue Cyr. Très bel ensemble, touchant et émouvant. Publication originale.
De Busch Company, au théâtre Notre Dame. Trois clowns et un magicien se crashent en avion. Successions de petits sketchs sans liens afin de réparer petit à petit l'avion. Pas indispensable. Publication originale.
De la Cie Les objets volants, à Kabarouf Barthelasse. Trois jongleurs et un musicien, dans une ambiance militaire et d'objection jonglent. Tout peut y passer : massues, ballons de basket, et même pneus de voiture ! Belle exécution. Publication originale.
De Eye Catching Circus, au Rouge Gorge. Des circassienne·x·s de Taïwan interprètent un spectacle questionnant le genre et l'image des corps. Une collection de numéros donnant un côté un peu cabaret. Publication originale.
De la Cie Singulière, à Villeneuve en Scène. Des réflexions très variées sur la sécurité (physique, informatique, ...) et la surveillance associée. Et au milieu, un magnifique funambule sur barrières Vauban. Publication originale.
De la Cie La Générale Posthume, au festival de la Cité. Le suzerain est mort, vive les chiens ! Un petit manuel décalé de non-respect du pouvoir, afin de laisser s'exprimer les vilains chiens au fond de chacun de nous. Publication originale.
De la Cie La Bête à Quatre, au festival de la Cité. Un quatuor d'acrobates, une bascule coréenne, de la paille. Une belle série d'acrobaties avec une jolie dose d'humour et quelques têtes plantées dans du foin. Publication originale.
De la Cie 14:20, au Théâtre des Célestins. Elle est enfermée dans un hôpital psychiatrique parce qu'elle se déplace en lévitant et que la science de l'époque le considère comme une maladie. Spectacle entre magie et théâtre, impliquant moult disparitions surprenantes. Belle galerie de personnages […]
Des Cie Companimi et Courcirkoui, à Neuchâtel. Un trio d'acrobates interprète des morceaux inspirés du baroque, tout en grimpant les uns sur les autres. Une performance qui manque un peu de moments waouh, mais qui est encore très fraîche et va se bonifier. Publication originale.
Du Théâtre Circulaire, au festival Jüstàkôté. Un trio clownesque (dont un musicien) sont là pour nous parler de ce qui fait qu'une porte est une porte. Quiproquos, passages secrets, slapstick sont les recettes de ce spectacle. Publication originale.
De la Cie J'sais que ma mère elle aimera pas, au Théâtre Am Stram Gram. Il a tout prévu pour SA soirée : le décor est placé, il s'apprête enfin à chanter. Mais elle arrive sur scène et vient tout perturber. Deux clowns bien drôles dans un univers bien sale. Publication originale.
De la Cie Moost, au Quatrain. Un personnage qui ne cesse de se mettre en danger afin de faire monter la tension dans le public jusqu'à ce qu'elle ne soit plus vraiment supportable. Un énorme plaisir de revoir ce spectacle après bien des années et de voir son évolution ! Publication originale.
De la Cie Sacekripa, au Quatrain. Elle, control-freak par excellence, assise face à un petit bureau, essaie de se préparer un thé, à la bonne température et avec juste ce qu'il faut de sucre. Mais évidemment, tout ne se passe pas comme prévu... Magnifique théâtre d'objets sans parole. Publication […]
Des Cie DK59 & Casus Circus, au Passage. Vêtus de blanc, les cinq acrobates enchainent des tours impressionnants, mais il me manque un fil rouge dramaturgique. Publication originale.
Du Galactik ensemble, à Équilibre. Un décor qui prend vie, des pièces qui se déplacent, des acrobates qui glissent à tout va... Beaucoup de destructions pour plein d'amusement sur scène. Publication originale.
De la Cie Lapsus, au Reflet. Six personnages jouent avec quantités de blocs en bois : constructions, jonglage, escalade, monocycle, ... Bon enfant, plaisant, de belles performances. Publication originale.
De la Cie Petri Dish, au Passage. Dans une ambiance post apocalyptique, des êtres étranges se croisent et s'affrontent. Un univers virtuel très fort, avec des performances circassiennes inhabituelles (comme du hula hoop avec une roue Cyr). Publication originale.