De la Cie Vigousse, au Théâtre du Concert.
La version complète d'une pièce déjà vue à l'automne. Trois danseur·euses se lâchent et font surgir plusieurs pans de leur personnalité. Un côté très loufoque et absurde.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la Cie Vigousse, au Théâtre du Concert.
La version complète d'une pièce déjà vue à l'automne. Trois danseur·euses se lâchent et font surgir plusieurs pans de leur personnalité. Un côté très loufoque et absurde.
De Tamara Mancini, Fête de la Danse, Bienne. Seul en scène mélangeant plusieurs styles (waacking, claquettes, pantomime, ...) basé sur le morceau d'Edith Piaf. Une pièce pleine de douceurs et d'amour. Publication originale.
De la Cie Zaidi, Fête de la Danse, Neuchâtel. L'énergie brute du krump me fascine. Cette pièce utilise ce style pour parler de ce qui nous rendu unique ou différent. Aussi bien des difficultés que cela représente, que des bonheurs. Publication originale.
Du Bis.Collectif, Fête de la Danse, Lausanne. Cinq femmes dans la cinquantaine qui font hommage aux concours de gym artistique de leur enfance. Une performance touchante et pleine de second degré. Publication originale.
De OTHERS & Compagnie, Fête de la Danse, Bienne. Une interprétation par la danse plutôt littérale des mots d'un rappeur parlant des personnes mal ajustées dans la société. Une performance dansée de qualité, qui mériterait un peu plus de variété musicale. Publication originale.
De la Cie AMA, au Théâtre du Concert. Après le monde du fast-food, la chorégraphe s'intéresse au monde virtuel des dances TikTok. Trois danseuses interprétent ces danses virales. Frais et hypnotisant. Publication originale.
De Jade Albasini & Mélanie Gobet, au Théâtre du Concert. Deux femmes assises sur un canapé gonflable rient, rient jusqu'à l'épuisement, avant de prendre le contrôle de l'espace. Expression par le corps de la prise de pouvoir et de parole de ces femmes qu'on jugeait autrefois hystérique. Ca fait du bien. Publication originale.
De la Cie Art&Motion, au Théâtre du Concert. Un extrait d'un spectacle plus long à venir. A rencontre B, dans un espace E, face à un public P, ce qui donne une représentation R. Dans un mouvement d'ensemble, les danseuses incarnent chacun des personnages et du texte. Intéressant. Publication originale.
De Catol Texeira, à Vidy. Un nouveau solo de Catol, un nouveau plaisir. Plusieurs danses, variées, répétitives, oscillant entre joie et tristesse, contrôle et lâcher prise, avec une grande ouverture vers le ciel bleu. Un objet transportant et inspirant. Publication originale.
De la Cie Nicole Seiler, à l'Arsenic. Un homme le torse peint en jaune, un grand nombre de masques d'oiseaux, des grincements, des borborygmes, des chants, quelques mots épars... une expérience particulière. Publication originale.
De la Cie Nicole Seiler, Fête de la Danse Lausanne. Il et elle ont le pas hésitant, bougent dans le silence... On apprend que leurs mouvements sont dictés par une IA et qu'iels les découvrent. On revoit la même chose avec la voix de l'IA qui les accompagne, puis encore une fois avec une musique suggérée par l'IA. Publication originale.
De la Cie champloO, à Nebia. Un peintre abstrait, des lumières, deux danseuses qui animent le tout : jeux d'ombres, d'objets, de muses, ... Beau travail qui a su m'emporter. Publication originale.
Journées photographiques de Bienne. Plein d'expositions, sur plein de sujets variés. Celles qui m'ont le plus touché : 96 Hours Biel, de Phil Penman : une vision très new-yorkaise de la ville et ses habitants. CAP Prize : une découverte d'artistes africains. Rechtes Land, de Julius Schein : le côté glaçant de scènes de crimes racistes après les faits. ... et toutes les autres. 😊 Publication originale.
De la Cie Marchepied, Fête de la Danse Lausanne. Tout de verts vêtu·es et coiffé·es de fleur (et une forte odeur de jasmin sur cette place), les danseur·euses évoquent le printemps et les tableaux de Matisse. Une œuvre pleine de légèreté. Publication originale.
De la Cie Moost, à l'Élastique Citrique. Une version plus lâchée que d'habitude de ces deux hommes enfermés dans leur terrarium, qui se côtoient, se rencontrent, mais ne se parlent pas (et s'interrogent à ce propos). Une pièce que j'ai toujours autant de plaisir à redécouvrir, car toujours autant pleine d'émotions et de mouvements. Publication originale.
De la CMI, au WEMP. Dans l'entrée des enfers, Tirésias, Cerbère et un chat racontent les histoires de gens qu'ils ont connus : un ébéniste pris dans une histoire de cocufiage, un navigateur se prenant pour Colomb, ... Avec un trio piano, violoncelle, clarinette qui improvise la musique en même temps. Publication originale.
Du Teatro la Fuffa, à Nuithonie. Aphrodite et son fils Cupidon sont bloqués sur Terre au XXIè siècle et cherchent à retourner sur l'Olympe. En attendant, elle gère un motel de passe, lui une application de rencontres ; Pénélope fait des passes en attendant Ulysse, Médée crie vengeance contre l'homme qui l'a abandonnée. Une foison de luttes qui convergeront (ou non) dans une pièce bien menée. Publication originale.
De la Cie En Quête du Vivant, au 2.21. Deux comédiennes et sculptrices se font passeuses de témoignages de femmes ayant eu un cancer du sein. Des paroles fortes et touchantes, très bien relayées. Publication originale.
De la Cie LesZarts, à Photo Elysée. Au milieu des œuvres, une déambulation dansée avec des danses urbaines. Trop de monde dans un trop petit espace et des transitions trop courtes empêchent de bien profiter. Publication originale.
À Photo Elysée. Jeune photographe américain, avec une esthétique très marquée et de belles références classiques. De magnifiques portraits, souvent de ses amis. Publication originale.