
De la Cie Marchepied, à la Dérivée.
Quatre danseur·euses dans une pièce courte évoquant les flots de la rivière juste derrière elleux. Une belle performance très agréable.
Archive de mes critiques en un Toot (parfois augmentées) publiées à l'origine sur Mastodon.
De la Cie Marchepied, à la Dérivée.
Quatre danseur·euses dans une pièce courte évoquant les flots de la rivière juste derrière elleux. Une belle performance très agréable.
De Schuiten & Peeters, au Théâtre du Jura. Benoît Peeters en narrateur, François Schuiten au dessin en direct, musiciens et chanteur lyrique, pour nous conter leur vision de ce qu'est devenu le capitaine Nemo après que le Nautilus ait été coulé. Une belle performance, mais j'en attendais plus. Publication originale.
À l'Espace ContreContre. Quatre méthodes de dessins très différenciées qui donnent une belle exposition dans ce très bel espace. Entre le crayon très fin de Adieu les enfants, la gouache des Chroniques palpiennes, ou les couleurs des dessins de concerts, les ambiances varient. Publication originale.
De Gisèle Vienne, à Vidy. Deux êtres dans une voiture après une soirée parlent de leur traumatisme dû à un inceste. Lorsqu'iels sortent de la voiture, tout se passe au ralenti avec un troisième être qui apparaît et vient danser dans des ambiances lumineuses magnifiques. Bouleversant, époustouflant. Publication originale.
À la galerie Papiers Gras. Petite retrospective de planches originales de cet auteur de BD. Complètement bluffé par le détail, la taille et la qualité des planches tirées de L'Âge d'or ! Publication originale.
De la Cie 14:20, au Théâtre des Célestins. Elle est enfermée dans un hôpital psychiatrique parce qu'elle se déplace en lévitant et que la science de l'époque le considère comme une maladie. Spectacle entre magie et théâtre, impliquant moult disparitions surprenantes. Belle galerie de personnages plus ou moins sains. Publication originale.
Au centre de culture ABC. Trio chant / contrebasse, guitare, et batterie pour des chansons un peu étranges et flottantes. Publication originale.
Du Collectif CCC, à Nebia. Une performance hors norme de plus de dix heures pour une quinzaine de comédien·nes pour une reprise en plein air d'une pièce du jeune Tchekhov. Magnifique élan et belle mise en scène. Publication originale.
Des productions de la misère, à l'Échandole. Trois médiévalistes se retrouvent pour une animation où tout ne se passe pas exactement comme prévu. Au sein des geignements de quadras en perdition, quelques infos intéressantes sur la nourriture au Moyen-Âge Publication originale.
De la Cie des Batteurs de Pavés, à Neuchâtel. Au coin d'une rue, elle nous raconte le brusque changement de sa vie bien rangée suite à une déviation sur son chemin quotidien. Elle rêve de liberté comme les oiseaux. Un mal-être bien exprimé. Publication originale.
Des Cie Companimi et Courcirkoui, à Neuchâtel. Un trio d'acrobates interprète des morceaux inspirés du baroque, tout en grimpant les uns sur les autres. Une performance qui manque un peu de moments waouh, mais qui est encore très fraîche et va se bonifier. Publication originale.
De la Cie Dans le ventre, à Vidy. Les tourments de l'adolescence racontés avec un magnifique texte très prenant, dans un décor évoquant une cantine scolaire. Et une belle performance des comédien·ne·x·s. Publication originale.
Au festival Court-Circuit. Un concert plein de paillettes, de joie, et d'humour. Une légèreté de ton qui fait du bien, même si les thèmes évoqués ne sont pas tout rose. Publication originale.
Du Collectif Delgado Fuchs, à l'Oriental. Enfermé dans une cabine, on regarde via un hublot des corps qui bougent. Perte de sens, de directions, de soi, on a l'impression d'être dans un sous-marin des grands fonds. Vraie réussite. Publication originale.
De la Cie Improlabo, au CPO. Plusieurs courtes scènes sans liens prévus, mais qui par la magie de l'impro finissent par former un tout quasi cohérent. Un plaisir simple et drôle. Publication originale.
De Mandorle productions, à Vidy. Mélange entre chant lyrique et danses répétitives devant un grand Tumulus museau de chien. Peu convaincu Publication originale.
De Moira Lafosse et Neil Höhener, au Théâtre du Jura. Un duo pétillant, sentant les vacances, qui danse sans limites et dans quantité de tenues. Très rafraîchissant Publication originale.
De Coşkun Kenar, au Théâtre du Jura. Un solo oscillant un peu entre arts martiaux japonais et breakdance, d'une incroyable précision technique. Malgré tout, je n'ai pas réussi à y entrer. Publication originale.
De Lorena Stadelmann, au Théâtre du Jura. Une forme courte en solo mélangeant danse et chant, avec une ambiance limite angoissante. C'est beau, et les propositions artistiques de cette artiste continuent de me subjuguer. Publication originale.
De la Cie ADVQ, à Vidy. Une adaptation de Platonov où chaque personnage chante son spleen via des chansons pop francophones. Une première partie bien rythmée et intéressante, mais qui s'épuise un peu pour la deuxième partie. Publication originale.