mardi 9 novembre 2004

Je suis un terroriste !

Je vous disais également hier soir que je venais en aide à une jeune femme terroriste... Mais visiblement, Internet a dû en déduire que c'était moi le terroriste... Pour preuve, voici quelques extraits d'un email que j'ai reçu aujourd'hui.

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Youpiiiieee !

Je vous disais hier soir ma déception due au fait que je m'y étais pris trop tard pour obtenir une place pour le concert de Nick Cave.... Et voilà que pas plus tard que maintenant, je viens de gagner une place suite à un concours. :-D Heureux le youki !

lundi 8 novembre 2004

Pris en otage !

Ce soir, début de la troisième semaine de détention pour 417D3142.3000407, et pas un seul journal international ne relaie cette horreur... Je vais donc essayer de combler ce manque !

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Ouiiinnn....

J'ai trop attendu et du coup je n'irai pas voir Nick Cave en concert... ;-(

dimanche 7 novembre 2004

Musique de l'instant

Dave Brubeck Quartet, Take Five, à écouter dans la radio. Parce que c'est un grand classique du jazz, et qu'il me fait à chaque fois que je l'entends autant d'effet que la première fois. J'adore la « voix » de ce sax, joué par Paul Desmond... sublime !

Question sur Six Feet Under, saison 2

Si quelqu'un parmi vous a le coffret français[1] de la deuxième saison de Six Feet Under, pourrait-il me rendre un petit service ? Il s'agit de regarder sur le cinquième DVD (le disque lui-même, pas son contenu vidéo) ce qui est marqué sous le titre. Est-il écrit « Saison 2, » où bien y a-t-il un autre texte ?

(Oui, je sais, c'est totalement insignifiant comme question, mais j'ai parfois tendance à me focaliser sur de petits détails. Et j'ai constaté ce qui semble être une erreur d'impression sur mon édition. Et ça m'intrigue... Et quand ça m'intrigue, je gratte... ;-) )

Notes

[1] J'insiste sur la version française... j'ai le coffret de la version suisse, et c'est pour vérifier une différence.

vendredi 5 novembre 2004

J'ai craqué

Je vais tous vous décevoir.... Oui, je vous avais promis que je saurai rester clean, et que je ne toucherai plus jamais à cette saleté... Mais ce soir, en rentrant du travail, j'ai craqué et j'ai racheté une dose... maintenant elle est là, posée sur mon bureau... je n'ai pas encore osé la déballer, surtout par peur de ne plus rien contrôler et de retomber définitivement dans le cercle infernal... et elle me nargue... avec son air goguenard... je l'entends presque me dire Eh oui ! Tu vois, je savais que je serai plus forte que toi... mais non, ce sont les hallucinations qui reviennent... une dose ne parle pas, voyons...

Il faudrait que je la mette directement dans les toilettes, sans la déballer, et que je tire la chasse... mais je sais que je n'aurai pas la force de le faire... Cela faisait (aïe... j'utilise déjà le passé pour parler de cela... c'est dire à quel point je suis déjà retombé fort bas) six mois que j'étais clean, que je n'y avais plus touché... mais depuis une semaine et demi, je suis au sevrage forcé des produits de substitution... j'en ai les mains qui tremblent... je n'arrive plus à me contrôler complètement... j'ai besoin de tout le cérémonial lié à une dose... et puisque je passe tous les soirs devant mon dealer, c'est très dur d'être toujours plus fort que la tentation... et ce soir je n'ai pas réussi... oui, j'ai honte... mais un moment de honte est si vite passé, comme ils disent.

Allez, reprenez tous en chœur avec moi : L'argentique, c'est tabou... on en viendra tous à bout ! ;-)

jeudi 4 novembre 2004

L'œil du 6 juin 1944

Couverture du livre L'œil du 6 juin 1944. Une amie m'a envoyé aujourd'hui un lien vers le manuel de la photo ratée. Du coup, je me suis souvenu de l'existence de ce livre que j'avais acheté il y a quelques mois et que je n'avais toujours pas lu. Je me suis donc dépêché de combler ce retard.

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Teasing

J'ai débuté hier soir un nouveau projet avec un ami graphiste... Le temps à notre disposition est très court (et en plus nous sommes tous deux très chargés), mais on va quand même essayer de faire quelque chose de bien. Je me réjouis de voir quelle forme cela va prendre au final. Et je suis heureux de collaborer avec quelqu'un d'aussi talentueux que lui... Plus d'infos quand certains détails auront été fixés.

(Oui, je sais, c'est du teasing de très mauvaise qualité... et en plus, quasiment aucun membre de mon lectorat ne pourra voir le résultat de ce projet puisqu'il n'existera que durant une soirée, et seulement dans le monde non virtuel...)

mercredi 3 novembre 2004

2046

Affiche du film 2046 de Wong Kar-Waï. Cela fait maintenant presqu'une semaine que j'ai vu ce film... il est peut-être temps que je me mette à la rédaction de cette chronique. Je vais donc vous parler de 2046, et plus simplement vous présenter des images. Même si je ne sais toujours pas très bien si j'ai aimé ou non...

2046 est le dernier film de Wong Kar-Waï, qui se présente comme une fausse suite de In the mood for love, dont toutes les images ont par ailleurs été tournées en même temps que In the mood for love.

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Ninja Tune Unreal Night

Flyer pour la soirée Ninja Tune Unreal Night. Bon, j'ai au moins deux billets de retard.... je vais essayer de les écrire ce soir. Commençons par la soirée Ninja Tune Unreal Night, dans le cadre du festival Jazz Onze+ le mercredi 27 octobre. Je vous ai déjà parlé des mauvais côtés de la soirée, je vais maintenant vous parler de tout le reste.

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C'est un cauchemar...

... et je vais bientôt me réveiller, hein ? Parce que ce n'est pas possible, ils ne peuvent quand même pas réellement avoir fait ça ?

Et en plus, au moins huit états (sur onze votant sur le même sujet, et d'autres infos semblent dire que le résultat est le même dans les onze états) ont inscrit dans leur Constitution l'interdiction des mariages homosexuels...

(C'est vraiment le genre de trucs qui me confortent dans l'idée que seule l'extinction du genre humain pourra peut-être sauver la planète d'une destruction complète.)

mardi 2 novembre 2004

Musique et cinéma

Une envie m'a pris récemment, celle de vous présenter quelques nouveaux morceaux dans ma radio qui seraient tous tirés de la bande son de films. Voici donc ma petit sélection, sans ordre particulier.

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dimanche 31 octobre 2004

Eternal sunshine of the spotless mind

Affiche du film Eternal sunshine of the spotless mind. Michel Gondry est un de mes clippeurs préférés. Je ne pouvais donc pas rater ce film dont j'ai entendu parler pour la première fois par l'intermédiaire du blog de Paul. Et je n'ai pas été déçu !

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2046

Jeudi passé, j'ai vu 2046, le dernier film de Wong Kar-Waï. Mais même trois jours plus tard, je ne sais toujours pas si je l'ai aimé ou non. Je ne vais donc pas vous parler du film, seulement vous présenter quelques-unes des magnifiques images du dossier de presse.

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J'en rêvais...

... depuis quelques temps, je l'ai enfin réalisé. Enfin, cet horrible « index.php » a totalement disparu des URLs des billets de mon blog et de mon photoblog. Ne vous inquiétez pas pour vos liens pointant chez moi, j'ai installé tout un jeu de RewriteRules permettant de faire qu'ils soient toujours valides.

Mais puisque l'on n'est jamais à l'abri d'une erreur lors de mises à jour de ce style, si vous constatez le moindre comportement bizarre n'hésitez pas à m'en faire part.

PS : J'ai également profité de l'occasion pour ajouter la liste de tous les smilies disponibles sous le formulaire des commentaires. J'espère que cette modification vous plaira. ;-)

vendredi 29 octobre 2004

Coraline

Couverture du livre Coraline, de Neil Gaiman. Je ne crois pas encore vous avoir parlé de Neil Gaiman. Il s'agit d'un auteur anglais, habitant aux États-Unis, écrivant de la science-fiction (dans le sens le plus large du terme) et des scénarii de BDs, ainsi que son blog qu'il tient très régulièrement à jour. Je l'ai découvert par la lecture de Sandman, une superbe saga présentant la vie des Infinis[1] dont je vous parlerai peut-être un autre jour. Pour la petite histoire, Gaiman fait partie des rares auteurs à avoir gagné à la fois le Nebula Award et le Hugo Award[2] pour le même livre, qui, en plus, parle de dieux nordiques vivant dans les États-Unis de la fin des années '90.

Mais ce soir, je veux vous parler de Coraline. Il s'agit d'un livre pour enfant, illustré par l'incroyable Dave McKean[3]. L'héroïne, Coraline, est une jeune fille de huit à dix ans qui vient d'emménager dans un nouvel appartement avec toute sa famille. Cet appartement a quatorze portes, dont treize s'ouvrent et se ferment normalement. La quatorzième, par contre, est toujours fermée à clé, et donne sur un mur les rares fois où on l'ouvre. Mais une nuit, Coraline ouvre cette porte et trouve un passage qui l'emmène dans un appartement identique au sien, dans lequel elle fait la connaissance de son autre mère et son autre père.

Au début, tout est mieux dans cet autre appartement. Les illustrations des livres sont vivantes, le coffre de jouets déborde, la nourriture y est meilleure. Coraline découvre également chez le voisin du dessous un orchestre dont tous les musiciens sont des souris apprivoisées. Mais petit à petit, elle se rend compte que tout n'est pas si bon là-bas. Son autre mère veut la changer, et la garder pour toujours dans cet autre appartement. Et elle prend également conscience des autres enfants présents dans ce monde, âmes perdues, coincées pour toujours dans le grand miroir. Elle seule peut les sauver et les libérer. Mais elle devra utiliser toute sa malice et se surpasser pour y arriver !

C'est un magnifique livre, avec juste la bonne dose d'anxiété et de peur nécessaire pour entretenir l'envie de découvrir le reste, et des personnages contrastés que l'on aime découvrir, apprécier ou détester. Un véritable bonheur à lire...[4] En plus, l'auteur ne prend pas du tout le lecteur pour un idiot, bien au contraire.

Ce qui m'amène à vous en parler ce soir : c'est que je suis tombé sur cette page web, qui présente une bande-annonce pour ce livre, réalisée par trois étudiants d'art italiens. Cette bande-annonce arrive à merveille à retranscrire l'ambiance du livre, et est très très belle. Je vous invite vivement à la regarder, et si elle vous a plu, plongez-vous dans le livre !

Notes

[1] Je vais essayer de les donner dans le bon ordre : Destiny, Death, Dream, Desire, Despair, Delirium (précédemment connue sous le nom de Delight) et un septième (mais en fait le quatrième de la fratrie) dont je ne vous dirais pas le nom, car le lecteur se pose la question durant quasiment toute la saga.

[2] Deux des trois plus prestigieux prix américains récompansant les œuvres de SF et de fantastique.

[3] Ami et collaborateur de longue date de Neil Gaiman pour la BD, et illustrateur de génie, n'hésitant pas à mêler photo, peinture, sculpture pour réaliser ses planches.

[4] Oui, j'aime beaucoup les livres pour enfants, et alors ?

Un nouveau colocataire

Il était là, derrière sa vitre... avec son regard implorant... il souhaitait trouver une nouvelle maison... ses maîtres précédents l'avaient abandonné, là, au froid, dans cette vitrine...

Lors de mon premier passage, je lui avais jeté un coup d'œil, mais j'avais l'esprit trop occupé par le problème que je venais régler dans un magasin pour vraiment le remarquer... Lorsque je suis ressorti, il n'avait pas bougé, toujours le même regard implorant...

Cette fois-ci je le remarquais vraiment, mais la caution demandée pour le libérer me faisait quand même hésiter. Malgré tout, je suis entré et ai demandé à le voir de plus près. On s'est regardé, tous deux un peu timide, mais le premier contact fut le bon et j'ai immédiatement compris que nous n'allions plus nous séparer. Son regard s'est également illuminé, et je crois même l'avoir entendu gémir de plaisir. On s'est caressé, nous avons fait plus ample connaissance, et j'ai finalement payé le prix de sa caution.

On le voyait très heureux, il avait trouvé une nouvelle maison et un nouveau maître auquel il serait fidèle jusqu'au bout. Il ne me reste plus qu'à vous présenter mon nouveau colocataire...

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jeudi 28 octobre 2004

Fin de soirée... pénible.

Vu que je viens de rentrer et que je n'ai pour l'instant pas sommeil, je vais vous parler de ma fin de soirée... La soirée avait bien débuté, avec des concerts et des sets de DJ fort sympathiques, mais cela je vous en parlerai demain. ;-) Pour l'instant, je vais vous parler de mes mésaventures de fin de soirée.

Les ennuis ont commencé peu avant l'arrivée sur scène de la tête d'affiche de la soirée... Déjà, mes côtes m'ont fait pas mal souffrir pendant que je dansais (heureusement, dans six heures je vois mon médecin et on verra bien ce qu'il va me diagnostiquer). Mais le véritable point noir de la soirée s'est produit au moment du dernier changement de scène : mon appareil photo semble avoir rendu l'âme... Il s'est brusquement bloqué, plus moyen de faire des photos. Je peux changer tous les réglages, l'autofocus fonctionne correctement, mais au moment où j'appuie complètement sur le déclencheur rien ne se passe... et il n'est plus possible non plus de rentrer dans les menus, d'afficher les photos qui sont sur la carte mémoire... ;-( Ça a quand même gâché mon humeur... Et au retour chez moi, je tombe sur un contrôle de police. Impossible de mettre la main sur le permis de circulation du véhicule, ils me font gentiment remarquer que j'ai le phare avant gauche qui ne fonctionne plus... Et pour couronner le tout... avant de rendre la voiture, je vais faire le plein, et là je constate que la carte de crédit qui doit toujours être dans la voiture pour faire le plein d'essence n'est pas à sa place non plus ! Introuvable elle aussi ! C'est sympa les voitures de location, non ?

À croire que j'ai décidé de collectionner les soirées de loser ces temps-ci... :-/

Pour terminer sur une note « positive » : toutes mes photos de la soirée sont ratées, puisque j'ai laissé par mégarde le réglage sur mise au point manuelle et que je n'ai jamais fait de mise au point. Déjà que j'ai eu beaucoup de peine à me motiver pour faire quelques photos... :-/

lundi 25 octobre 2004

Vous avez dit masochiste ?

Commençons par un peu d'histoire récente : mercredi dernier, cours d'Aïkido, comme d'habitude. Dans la deuxième partie du cours, je rate magnifiquement une chute... je m'écrase la tête la première sur le sol, de manière parfaitement verticale. Tellement verticale d'ailleurs, que je ne ressens aucune douleur ni dans la nuque, la tête ou le dos... Par contre mes jambes ne se sont pas arrêtées en même temps que le reste du corps. Résultat : une très forte compression de mon diaphragme et de mes côtes, ainsi que la respiration complètement bloquée pendant de longues secondes. Mais une fois que j'ai eu réussi à reprendre le contrôle de ma respiration, il n'y avait plus que la douleur dans les côtes. (Mais j'avais quand même, parait-il, la couleur d'un mur blanc fraîchement repeint...)

Jeudi et vendredi. Des douleurs très fortes dans le dos, la nuque, et les côtes bien sûr. J'avais mal si je respirais à plein poumons, mal si on me faisait rire[1], mal en me penchant en avant, mal en toussant... même la position assise liée à mon travail devenait pénible. Heureusement, j'ai eu le net sentiment que mes douleurs n'étaient que musculaires, et qu'il n'y avait donc rien de cassé ou démis.

Samedi et dimanche. Les douleurs dans le dos et la nuque ont disparu. Quant aux côtes, la douleur n'était plus présente en continu... seulement lorsque j'appuyais, que je toussais ou que je riais (et c'est bien sûr ce jour-là que j'ai choisi pour lire environ un an et demi de gags de Garfield :roll: )

Lundi (aujourd'hui donc). Tout va bien, une légère douleur dans les côtes quand je tousse ou quand je me baisse. Mais vous avez dit qu'on est lundi, non ? Le lundi, c'est soir de mon cours d'Aïkido. :-D Bien entendu, j'y suis retourné... pour déchanter très très vite avec une douleur « perforante » dans les côtes dès la première chute. Résultat : le cours est devenu purement théorique pour moi... :-/

Quoi, maso moi ? Meuh non.... Bon, maintenant c'est une semaine de repos sportif forcé puisque j'ai d'autres engagements mercredi soir et ne peux donc me rendre au cours d'Aïkido.

Notes

[1] Ah, ça te fait mal quand tu ris ?.... Bin alors ris pas ! Merci à François Silvant.

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