Un blog inutile de plus...

Vous vous souvenez tous du défi que je me suis lancé il y a quelques mois. Aujourd'hui, le temps étant idéal, je suis sorti avec mon cher appareil photo et j'ai réalisé les douze photos nécessaires pour relever un des thèmes que vous m'avez offerts. Le thème choisi pour aujourd'hui fut celui proposé par Samantdi : les chiffres dans la ville.

Will Eisner est décédé la nuit dernière à l'âge de 87 ans... Il avait déjà subi la semaine dernière un quadruple pontage coronarien, mais semblait pourtant reprendre des forces beaucoup plus rapidement que ce que les médecins espéraient. Malheureusement, cela semble ne pas avoir suffit.

Y en a marre de ces biiiiip de DVDs qui ne nous laissent pas faire ce que l'on souhaite avec le contenu que l'on vient d'acheter. J'aime voir mes films en version originale sans sous-titres... mais non impossible. Il a été décidé pour moi que si je ne veux pas de sous-titres, c'est que je souhaite voir la version française... Je vais donc être obligé d'avoir une expérience dégradée... au choix sur le plan visuel (sous-titres qui cachent certaines parties de l'image) ou auditif (l'horreur des voix doublées). Et c'est également un manque de respect pour les auteurs et acteurs du film, puisqu'il devient ainsi impossible de le voir tel que conçu par l'auteur. Grrrrr.... Et bien entendu, aucune indication de cet état de fait sur le boîtier, ce n'est qu'en commençant la visualisation que l'on s'en rend compte.

Question subsidiaire : pourquoi est-ce que tous les DVDs que j'ai vus qui imposent ce système sont des DVDs français et produits par une boîte française ? Pour toute autre provenance (Canada, États-Unis, Angleterre, Allemagne, Suisse, Japon, Danemark et Chine sont les pays que j'ai testés), on peut changer « au vol » entre les différents sous-titres ou doublages proposés... mais avec les français, impossible. Est-ce une conséquence de la loi Allgood ? j'en doute quand même... J'ai peut-être une autre explication en fait... la boîte^[1] qui « produit » les DVDs incriminés a comme métier premier de vendre du temps de cerveau libre à Coca-Cola... J'ai donc le sentiment que la prochaine étape seront des coupures publicitaires au milieu du film et avant le film, coupures qu'ils nous interdiront bien sûr de zapper ou de passer en avance rapide... C'est beau la technologie ! Grrrrrrr

Je pourrais écrire ce billet sous la forme d'une déclaration amoureuse, mais je m'abstiendrai^[1] et resterai à l'essentiel.

Arte, en ce début d'année, que ton nom soit sanctifié ! Tu nous offres en effet tellement de belles choses dès cette première semaine.

Je ne sais que dire de plus devant cette photo. Ou encore celle-ci. Le chemin est encore long pour moi...

Ce billet mûrit depuis quelques semaines dans mon esprit. Et je ne peux plus continuer comme cela.

... c'est rentrer chez soi après une soirée, et entendre déjà les oiseaux chanter. Car ça signifie quand même que l'on va aller se coucher alors que la journée commence...

Plus que deux cents images à transférer, et je vais pouvoir aller dormir...

Ah que de nostalgie. Je me souviens encore avec bonheur de l'époque (il y a une douzaine d'années) où je restais tard le dimanche soir devant la télévision juste pour pouvoir regarder les épisodes de Dream On, diffusés dans la nuit du dimanche au lundi à minuit et demi sur la TSR. Et enfin, on peut maintenant trouver cette série en DVD.

Vu sur un panneau électronique dans un train, panneau annonçant la gare suivante : Prochaine arrete :