dimanche 27 février 2005
Le créateur
Photo réalisée pour un article consacré à Fabian Sbarro dans le magazine Reactor (RIP). Grandson, avril 2000.
Par ȷulmud, le dimanche 27 février 2005, 06:39 | | Lien permanent
dimanche 27 février 2005
Photo réalisée pour un article consacré à Fabian Sbarro dans le magazine Reactor (RIP). Grandson, avril 2000.
Par ȷulmud, le dimanche 27 février 2005, 06:39 | | Lien permanent
Commentaires
Elle est très belle celle là !
En bon chieur, je me permettrais tout de même une petite critique : je pense que si tu surexposais (burn) la partie haute de l'image pour la rendre complètement noire, ça serait plus joli encore. Le fait qu'il reste de la lumière là me dérange un peu, je préfère quand c'est fermé.
Mais c'est une critique positive !
Vraiment très belle cette photo. Douce.
Je suis content que tu sois revenu depuis quelques jours à des photos plus chaudes... Ca finissait par me briser le coeur de voir encore du froid (belles photos au passage) en arrivant le matin au labo, gelé que j'étais après mes 20 minutes à vélo !
Continue avec ce genre de critiques, c'est justement ce qui m'intéresse. De mémoire, j'avais essayé à l'époque où j'avais scanné cette photo, mais je préférais cette version « brute. » Mais il faudrait peut-être que je réessaye, mes goûts ont certainement évolué.
Pour la glace, ne te réjouis pas trop, elle fait bientôt un retour...
J'y reviens à cette photo.
Vraiment, j'adore...
Elle est vraiment super belle.
Tu me prêtes le négatifs pour que je me l'agrandisse ?
Content qu'elle te plaise. Pour la petite histoire, il faut savoir que la photo qu'il regarde est un auto-portrait (ce n'est pas forcément visible ici). Fabian voyait cela comme une réflexion sur le processus créatif qui ne serait en fait que du nombrilisme. (Bin oui, ça m'arrive de faire de la photo conceptuelle... mais cela ne me vient pas naturellement, rassurez-vous.)
Prêter le négatif ? Désolé, mais je suis resté un peu trop au stade anal pour cela (et un peu trop d'expériences de planches contacts prêtées et jamais revues).