Je reste toujours sidéré d'une constante dans les films d'action en provenance d'Hollywood. Comment se fait-il qu'un « méchant » puisse rater le « gentil » en tirant une rafale de fusil d'assaut à bout portant, alors que le « gentil » réussit à tous les coups à abattre un « méchant » situé à un kilomètre de là avec une seule balle de son pistolet ? Ca les embêterait beaucoup d'avoir un semblant de cohérence ?

Ah oui : suspension of disbelief... (ou « suspension consentie de l'incrédulité » en français.)